de pmf » Lun 7 Jan 2019 21:44
Après relecture des contributions de 2016, il est possible de présenter un état de la composition du Conseil municipal de Lion sur Mer.
En 2016, lors de l'élection municipale partielle intégrale, trois listes avaient concouru avec en schématisant une liste divers droite de sortants, une liste de gauche socialisante de l'opposition d'alors, ex Majorité sortante de 2014, et une liste divers prônant de la démocratie participative.
La liste des sortants avait été battue et n'avait obtenu que trois sièges pour quatorze sièges pour la liste de gauche et deux sièges pour la liste divers.
Huit élus de la Majorité de gauche, dont quatre Maire Adjoints et l'ex Maire de 1989 à 2014, ont démissionné et sur les cinq suivants de liste, trois ont accepté de rejoindre le Conseil municipal et deux ont décliné cette invitation.
En conséquence, le Conseil municipal compte désormais 14 membres, dont neuf de la Majorité de gauche, trois de l'opposition divers droite et deux de l'opposition divers de démocratie participative et cinq sièges sont donc vacants.
Pour en arriver à une élection municipale partielle, il faudrait deux nouvelles démissions et si celles ci émanaient des oppositions que les suivants de listes renoncent à siéger au Conseil municipal.
Après ces considérations administrativo-politiques, il paraît évident que la gauche socialisante se déchire et que c'est un échec patent ce que la population de Lion sur Mer ne devrait guère priser.
J'interrogerai un habitant d'une commune voisine, qui s'intéresse aux Questions politiques, pour en savoir plus sur ce qu'il faut qualifier de crise municipale lionnaise.
Je constate que le Maire, Inspecteur des Finances Publiques de sa profession, est contesté dans sa gestion municipale et je chercherai à en savoir plus.
Il semble qu'une élection municipale partielle serait à souhaiter mais il faut se souvenir que, à partir de mars 2019, il faudra que 10 sièges du Conseil municipal soient vacants pour provoquer une élection partielle.
La décision de recourir à une élection partielle est dans les mains ou plutôt dans les stylos des oppositions.
A suivre.