Régionales de 2015 en Nord-Pas-de-Calais-Picardie

[Geoffroy]

Personne se semble remarquer que l'on ne vote pas de la même façon aux régionales qu'aux départementales c'est curieux. Aux régionales, on sanctionne très fort l'exécutif, bien plus qu'aux départementales. La gauche ne fera pas plus d'un tiers des exprimés au second tour dans cette région.

Aux régionales l'on peut "sanctionner" les responsables nationaux importants (ministres, ex-ministres, présidents/vice-président de region) qui se présentent alors qu'aux départementales/cantonales il n'y a pas de liste et l'on y trouve souvent les notables locaux (que l'on peut sanctionner du reste) comme deux maires.

[Azertyuiop]

Personne se semble remarquer que l'on ne vote pas de la même façon aux régionales qu'aux départementales c'est curieux. Aux régionales, on sanctionne très fort l'exécutif, bien plus qu'aux départementales. La gauche ne fera pas plus d'un tiers des exprimés au second tour dans cette région.

Aux régionales l'on peut "sanctionner" les responsables nationaux importants (ministres, ex-ministres, présidents/vice-président de region) qui se présentent alors qu'aux départementales/cantonales il n'y a pas de liste et l'on y trouve souvent les notables locaux (que l'on peut sanctionner du reste) comme deux maires.

Je ne parle pas forcément des candidats qui se présentent mais bien de l'étiquette politique. Vous remarquerez que les vagues bleues et les vagues roses sont beaucoup, beaucoup plus importantes lors d'élections régionales que lors d'élections municipales ou départementales.

[Relique]

Je ne parle pas forcément des candidats qui se présentent mais bien de l'étiquette politique. Vous remarquerez que les vagues bleues et les vagues roses sont beaucoup, beaucoup plus importantes lors d'élections régionales que lors d'élections municipales ou départementales.

Aux élections départementales, vous aviez déjà prévu 11 départements PS. La gauche en a trois fois plus. Peut-être devriez-vous prendre un peu de recul...

Personnellement, je pense que le contexte national jouera beaucoup. Mais ce contexte sera dans 8 mois, et je ne m'appelle pas Cassandre...

[Zanas]

Je ne parle pas forcément des candidats qui se présentent mais bien de l'étiquette politique. Vous remarquerez que les vagues bleues et les vagues roses sont beaucoup, beaucoup plus importantes lors d'élections régionales que lors d'élections municipales ou départementales.

Aux élections départementales, vous aviez déjà prévu 11 départements PS. La gauche en a trois fois plus. Peut-être devriez-vous prendre un peu de recul...

Personnellement, je pense que le contexte national jouera beaucoup. Mais ce contexte sera dans 8 mois, et je ne m'appelle pas Cassandre...

Quand bien même ce serait votre nom, qu'on ne vous croirait pas... ;-)

[Azertyuiop]

Je ne parle pas forcément des candidats qui se présentent mais bien de l'étiquette politique. Vous remarquerez que les vagues bleues et les vagues roses sont beaucoup, beaucoup plus importantes lors d'élections régionales que lors d'élections municipales ou départementales.

Aux élections départementales, vous aviez déjà prévu 11 départements PS. La gauche en a trois fois plus. Peut-être devriez-vous prendre un peu de recul...

Personnellement, je pense que le contexte national jouera beaucoup. Mais ce contexte sera dans 8 mois, et je ne m'appelle pas Cassandre...

Je n'avais pas prévu 11 départements PS, j'ai dit qu'au pire il n'en aurait que 11, c'est différent même si je dois avouer que je ne les voyais pas à 30 non plus ! (D'ailleurs, je me suis corrigé avant le premier tour en "prédisant" un PS à son niveau de 1992). Par contre, cela confirme justement ce que j'ai dit, on sanctionne plus aux régionales qu'aux départementales. La droite n'est jamais tombée sous 40 départements, regardez combien elle a de régions. En 2004, elle perdait presque tout niveau région mais conservait la moitié des départements, comment l'expliquez-vous ? Aux départementales, le contexte local joue davantage, d'où la résistance de la gauche cette année.

[manudu83]

Cela a beaucoup plus de rapport avec le mode de scrutin qu'avec le contexte local plus important aux départementales.

D'autre part mis à part l'Alsace dans l'ancien découpage aucune région n'était déséquilibrée politiquement, ce qui favorise dans le cadre d'une prime majortaire le phénomène des "vagues" bleues ou roses.

[Azertyuiop]

Quand on voit que la Basse Normandie est restée à gauche avec 57% des voix alors que la droite avait réussi à conserver les 3 départements de la région, on se pose des questions. On pourrait aussi citer l'exemple des Pays de la Loire pourtant très à droite dans tous les autres scrutins. Quand c'était la droite qui profitait du vote sanction, même la région Midi-Pyrénées était à droite, c'est dire, et cela sans les voix du FN.

[Azertyuiop]

Je pense d'ailleurs que la région Midi-Pyrénées pouvait aussi être qualifiée de "déséquilibrée politiquement". De même pour la région Limousin.

[Relique]

Quand on voit que la Basse Normandie est restée à gauche avec 57% des voix alors que la droite avait réussi à conserver les 3 départements de la région, on se pose des questions. On pourrait aussi citer l'exemple des Pays de la Loire pourtant très à droite dans tous les autres scrutins. Quand c'était la droite qui profitait du vote sanction, même la région Midi-Pyrénées était à droite, c'est dire, et cela sans les voix du FN.

Faut-il rappeler qu'à l'époque, le scrutin était par moitié ? Allégeant, forcément, la bascule. Et l'effet sortant était forcément plus important qu'en 2015, vu que les cantons sont similaires, tandis qu'en 2015, ils se sont agrandis (l'effet sortant jouant moins).

[Azertyuiop]

Quand on voit que la Basse Normandie est restée à gauche avec 57% des voix alors que la droite avait réussi à conserver les 3 départements de la région, on se pose des questions. On pourrait aussi citer l'exemple des Pays de la Loire pourtant très à droite dans tous les autres scrutins. Quand c'était la droite qui profitait du vote sanction, même la région Midi-Pyrénées était à droite, c'est dire, et cela sans les voix du FN.

Faut-il rappeler qu'à l'époque, le scrutin était par moitié ? Allégeant, forcément, la bascule. Et l'effet sortant était forcément plus important qu'en 2015, vu que les cantons sont similaires, tandis qu'en 2015, ils se sont agrandis (l'effet sortant jouant moins).

Dans ce cas, comment expliquer l'absence de (vraie) vague bleue en 2015 ? Et puis, la droite a connu trois renouvellements consécutifs où le scrutin lui était défavorable(2004,2008 et 2011) et elle a quand même gardé 40 départements.