ploumploum a écrit: Candidat à sa succession en 2001, il avait été nettement battu par la liste d'union de la gauche de F.Rebsamen, provoquant ainsi la bascule historique de la ville.
Nettement battu? Il avait réalisé 48 % des voix dans un duel au 2ème tour, ce qui n'avait rien de déshonorant ne serait ce qu'en comparaison des % réalisés par la droite locale depuis lors (20% en 2020, par exemple).
Après, tout est toujours relatif: Dans le contexte national de 2001 (une vague bleue) une ville à la sociologie de l'époque de Dijon n'aurait jamais du basculer à gauche à ce moment là (en 1995 à la présidentielle, Jacques Chirac atteint 63% au 2ème tour).
La volonté de changement a tout emporté alors sur son passage: ce qu'a d'ailleurs écrit Jean-François Bazin lui même dans son livre sur l'histoire de Dijon par la suite.
Il l'avait d'ailleurs déjà admis dés 2001 en ne souhaitant pas siéger au conseil municipal au motif que s'il n'avait pas incarné le renouveau après 30 ans de mandats municipaux, il pouvait difficilement l'incarner plus tard.