En perte de vitesse et affecté par le départ de nombreux élus locaux, partis vers LREM ou vers le MRSL ; on commence à connaître les intentions de l'UDI dans plusieurs villes, que ce soit
la publication de la liste de chefs de file UDI ou d'alliances.
A
Paris,
Jean-Christophe Lagarde a annoncé le 1er septembre le soutien de l'UDI à la candidature de Benjamin Griveaux (LREM).
A
Marseille,
c'est la conseillère régionale Anne-Claudius Petit qui a été investie par le parti centriste, même si celle-ci ne devrait pas être tête de liste, un partenariat étant recherché avec LR ou LREM.
A
Lyon,
l'UDI a investi Christophe Geourjon pour la ville et pour la Métropole. Rien n'est fixé pour les alliances, les portes pour conclure un pacte avec LR ou LREM sont toujours ouvertes.
A
Toulouse et Ã
Nice, l'UDI n'a rien dévoilé, même si il est quasiment assuré qu'il y aura un partenariat avec les maires sortants Jean-Luc Moudenc (LR) et Christian Estrosi (LR).
A
Nantes, l'UDI a investi Laurent Guyot, collaborateur parlementaire du groupe Union Centriste au Conseil régional des Pays de la Loire. Là également, un accord devrait certainement être trouvé avec LR ou LREM.
A
Montpellier,
l'UDI soutient la candidature d'Alex Larue (LR).
A
Strasbourg, l'UDI a désigné Laurent Schumacher comme chef de file.
Un accord serait en cours de conclusion avec le candidat LR Jean-Philippe Vetter.
A
Bordeaux, si Ludovic Bousquet a été investi par le parti centriste, nul doute que celui-ci partira avec le maire sortant Nicolas Florian (LR),
comme l'indiquait d'ailleurs un sondage où le candidat était annoncé LR-UDI-MoDem.
A
Lille,
l'UDI, par la voix de Nicolas Lebas, a annoncé le 7 octobre avoir conclu un accord politique avec la liste menée par Violette Spillebout, tête de liste LREM.
A
Rennes,
l'UDI semble préférer soutenir la candidature de Charles Compagnon (DVD) plutôt que celle de Carole Gandon (LREM).
A
Perpignan,
l'UDI a annoncé le 16 octobre qu'elle soutenait Romain Grau (LREM) qui était d'ailleurs membre du parti jusque 2017. Il a rejoint l'Alliance Centriste en 2018, parti qui lui aussi était au sein de l'UDI avant de rejoindre LREM.
A
Dijon, c'est une
alliance UDI-LREM qui a cours, avec la candidature de Sylvain Comparot, validée par 91,4% des adhérents de Pour Dijon.
Par ailleurs, l'UDI a vu certains de ses candidats recevoir le soutien de LREM, notamment à Compiègne, Vernouillet, Bourg-la-Reine, Couëron, Montrouge ou encore Fleury-les-Aubrais.