Candidature de Nicolas Dupont-Aignan (DLF)

[Nico]

Nicolas Dupont-Aignan (DLF), Président de Debout La France, député de la 8° circonscription de l'Essonne, Président de la Communauté d'agglomération Val d'Yerres Val de Seine, maire de Yerres, obtient le soutien de 40 élus ou anciens cadres; issus du FN, de LR, du FN et quelques centristes (article tronqué néanmoins, présentant comme ex-UMP certains élus qui sont pourtant à DLF depuis un certain temps, voire très grand temps, et que j'ai noté, j'ai simplement gardé les acronymes DLF et LR même si ceux-ci étaient auparavant DLR et UMP) :

- Alain Astresse (ex-UDI, DLF depuis novembre 2015), conseiller municipal de Honfleur.
- Jean-Marc Bardou (ex-LR, DLF depuis octobre 2015), conseiller municipal d'Albi.
- Anne-Marie Baudoui-Maurel (ex-FN, DLF depuis octobre 2014), conseillère municipale de Digne-les-Bains.
- Cécile Bayle de Jessé (ex-MPF, DLF depuis février 2012), ancienne conseillère régionale.
- Jean Becq de Fouquière (ex-UDI), conseiller municipal de Cinq-Mars-la-Pile.
- Lionel Béjeau (ex-LR, DLF depuis août 2015), maire-adjoint de Tours.
- Victor Bérenguel (ex-LR, DLF depuis mars 2016), Président de la Communauté de communes du Savinois-Serre-Ponçon, maire de Savines-le-Lac.
- Gaëdic Blanchard-Douchain (ex-LR, DLF depuis mai 2014), maire-adjoint de Laon.
- Michèle Boucomont (ex-LR, DLF depuis novembre 2015), ancienne candidate aux élections législatives dans la 2ème circonscription de la Nièvre.
- Ghislaine Bourland (ex-LR, DLF depuis octobre 2015), ancienne membre du comité départemental UMP du Finistère.
- Arnaud Bouvier (ex-FN, DLF depuis novembre 2015), conseiller municipal d'Épinal.
- Yves Cau (ex-LR, DLF depuis septembre 2013), ancien délégué UMP de la 2e circonscription du Morbihan.
- Robert Chauderlot (ex-LR, DLF depuis novembre 2015), conseiller départemental du canton de Charleville-Mézières-3, maire-adjoint de Charleville-Mézières.
- Arnaud Clément (ex-LR, DLF depuis novembre 2009), conseiller municipal de Châteauroux.
- Jean Conreaux (ex-LR), conseiller départemental du canton de L'Argentière-la-Bessée, maire de Vallouise.
- Jean-Yves de Prat (ex-MPF, DLF depuis mars 2011), ancien maire-adjoint d'Angoulême.
- Benoît Dollé (ex-LR, DLF depuis novembre 2014), conseiller municipal de Berck.
- Philippe Douchain (ex-LR, DLF depuis novembre 2015), ancien conseiller régional, ancien maire-adjoint de Laon.
- Olivier Eyraud (ex-LR, RBM depuis mai 2012, DLF depuis octobre 2015), ancien conseiller général du canton de Reyrieux, conseiller municipal de Reyrieux.
- Jean Gabriel (ex-MPF), ancien trésorier de la fédération MPF de l’Aube.
- Roland Guillaux (ex-LR, DLF depuis novembre 2015), maire du Coudray-Saint-Germer.
- Jean-Étienne Hannequin (ex-LR, DLF depuis août 2015), ancien Secrétaire départemental adjoint de la fédération UMP de l'Ariège.
- Éric Lebouc (ex-LR, DLF depuis février 2015), conseiller municipal d'Aussillon.
- Jean-Luc Manoury (ex-FN, DLF depuis février 2015), conseiller municipal de Pont-à-Mousson.
- Marc Mantovani (ex-LR, DLF depuis octobre 2015), ancien délégué départemental des jeunes RPR de Haute-Saône.
- Claude Marcou (ex-LR, DLF depuis novembre 2013), ancien conseiller général du canton de Meximieux, ancien maire de Villieu-Loyes-Mollon.
- Philippe Mathière (ex-MPF, DLF depuis mai 2012), conseiller municipal de Beaumont-le-Roger.
- Jean Morin (DLF), conseiller départemental du canton de Créances, Président de la Communauté de communes de La Haye-du-Puits, maire-adjoint de La Haye-du-Puits.
- Philippe Parcheminier (ex-MPF, DLF depuis octobre 2013), conseiller municipal de Laon.
- Jean Pingal (ex-LR, DLF depuis novembre 2015), ancien conseiller général du canton de Villeneuve-l'Archévêque
- Éliane Poirson (ex-UDI, DLF depuis novembre 2015), maire de Rigny-Saint-Martin.
- Anne-Christine Poisson (ex-MPF, DLF depuis novembre 2014), ancienne députée européenne.
- Nathalie Repusseau (ex-FN, DLF depuis janvier 2015), conseillère municipale de Pont-à-Mousson.
- Pierre-Jean Robinot (ex-FN, DLF depuis novembre 2015), conseiller municipal d'Épinal.
- Jacqueline Rolland (ex-MPF, DLF depuis mai 2014), ancienne Présidente de la fédération MPF du Finistère.
- Érika Roset (ex-FN, DLF depuis février 2016), conseillère départementale du canton de Villeneuve-sur-Yonne.
- José Serrano (ex-MPF, DLF depuis septembre 2014), ancien Président de la fédération MPF de l'Ariège.
- Yvon Setze (ex-MoDem, DLF depuis septembre 2015), maire de Montagnac-sur-Lède.
- Pascal Simmonot (ex-LR, DLF depuis septembre 2015), Président de la Communauté de communes des 2 Vallées, maire de Moigny-sur-École.
- Nicole Thomas-Mauro (ex-MPF, UMP à partir de 2002, DLF depuis novembre 2015), ancienne députée européenne.
- François Vermande(ex-LR, DLF depuis avril 2012), ancien conseiller général du canton de Maurs, ancien maire-adjoint de Maurs.
-Elizabeth Zitoun (ex-Nous Citoyens, DLF depuis novembre 2015), ancienne responsable de Nous Citoyens Grenoble.

http://www.valeursactuelles.com/politiq ... lui-63502#

[Apollinaire93]

Cela fait donc une dizaine de parrainages sur les 500 nécessaires ^^ La question est : "Y a-t-il un espace à droite entre le candidat des Républicains et Marine Le Pen ?" Pas sûr, vu qu'en 2012 les petits élus ont donné leurs parrainages en partie parce qu'ils n'avaient pas aimé le quinquennat de Sarkozy. La situation actuelle est très différente. Je pense donc que NDA peut ne pas être présent au premier tour. Et les 5% qu'on lui promet dans les sondages se répartiront à parts égales entre MLP et le candidat de la droite.

[ploumploum]

Nicolas Dupont-Aignan pourrait obtenir le soutien d'un ex-député PS. Jean-Philippe Mallé (désormais République Moderne) , député de 2012 à 2014 (comme suppléant de B.Hamon) indique hésiter entre Guaino et le président-fondateur de DLF et fait un réquisitoire cinglant contre le PS :

J’avais adhéré à cette formation (le PS) au début des années 2000 pour la justice sociale et la défense des classes populaires. Moins de quinze ans plus tard, le compte n'y est pas, c'est le moins qu'on puisse dire… La "doctrine Terra Nova" s’est imposée : le PS se contente de s'adresser à des segments de la population, en oubliant que les classes sociales existent toujours. A l'Assemblée nationale, je me rappelle avoir assisté à des réunions de groupe lunaires ! On y parle une langue étrangère : c'est Solférino qui s'adresse à Solférino, en permanence.

Le PS a définitivement écarté la question de la souveraineté, pourtant centrale. Selon la Constitution, le souverain est le peuple français. Mais au PS, on déteste l'idée de Nation et d'Etat-Nation, avec en outre une forme de béatitude à l'égard de l'Union européenne. Il est vrai que plusieurs des dirigeants de ce parti sont passés directement du trotskisme au social-libéralisme… L'Histoire de France les embarrasse car elle est, selon eux, trop identitaire. Ils veulent faire table rase du passé
[...]
Je voterai pour le candidat le plus proche de l'idée que je me fais du gaullisme, qui requiert la souveraineté nationale et l’autorité de l’Etat. Dans la vie politique française, deux personnes peuvent l’incarner : Henri Guaino et Nicolas Dupont-Aignan.

http://www.marianne.net/2017-suppleant- ... 47696.html

[Eco92]

Il y a quand même des gens qui ont quelques soucis de positionnement.

[MiniM]

Bah, je m'attends à le voir comme candidat RBM aux prochaines législatives, il est sur la bonne piste pour ça.

[Fabien]

Nicolas Dupont-Aignan pourrait obtenir le soutien d'un ex-député PS. Jean-Philippe Mallé (désormais République Moderne) , député de 2012 à 2014 (comme suppléant de B.Hamon) indique hésiter entre Guaino et le président-fondateur de DLF et fait un réquisitoire cinglant contre le PS :

J’avais adhéré à cette formation (le PS) au début des années 2000 pour la justice sociale et la défense des classes populaires. Moins de quinze ans plus tard, le compte n'y est pas, c'est le moins qu'on puisse dire… La "doctrine Terra Nova" s’est imposée : le PS se contente de s'adresser à des segments de la population, en oubliant que les classes sociales existent toujours. A l'Assemblée nationale, je me rappelle avoir assisté à des réunions de groupe lunaires ! On y parle une langue étrangère : c'est Solférino qui s'adresse à Solférino, en permanence.

Le PS a définitivement écarté la question de la souveraineté, pourtant centrale. Selon la Constitution, le souverain est le peuple français. Mais au PS, on déteste l'idée de Nation et d'Etat-Nation, avec en outre une forme de béatitude à l'égard de l'Union européenne. Il est vrai que plusieurs des dirigeants de ce parti sont passés directement du trotskisme au social-libéralisme… L'Histoire de France les embarrasse car elle est, selon eux, trop identitaire. Ils veulent faire table rase du passé
[...]
Je voterai pour le candidat le plus proche de l'idée que je me fais du gaullisme, qui requiert la souveraineté nationale et l’autorité de l’Etat. Dans la vie politique française, deux personnes peuvent l’incarner : Henri Guaino et Nicolas Dupont-Aignan.

http://www.marianne.net/2017-suppleant- ... 47696.html

A en juger par les réactions pour le moins mitigées des lecteurs (plutôt à dominante souverainiste de gauche), le rapprochement avec la droite souverainiste voulu ce monsieur, dans la lignée de la dernière stratégie de Chevènement, a encore un peu de mal à passer...

[Profil supprimé]

A l'instar des planètes, les grands partis politiques se forment par accrétion, c'est à dire par apport d'éléments extérieurs, généralement des individus ou des groupes d'individus avec leurs projets, leurs visions plus ou moins proches les uns des autres, afin de créer une communauté d'idées. On appelle cela des groupes de réflexion et cela fait le charme des grands partis politiques. Ce fut historiquement le cas de l'UDR de De Gaulle et de Chaban-Delmas, le PS de François Mitterrand, l'UDF de Giscard D''Estaing et dans une moindre mesure le mouvement d'EELV et du FdG actuels.

Dans les tous petits partis, voire les micro partis plus ou moins extrémistes ou absolutistes, comme LO, NPA, le PdF et bien sur DLF, il n'y a pas de phénomène d'accrétion, il y a un seul chef ou du moins, une seule ligne et puis c'est tout. Derrière cet état d'esprit si on croit pouvoir rassembler au moins 50,001% des français, on se plante sérieusement ou alors ce n'est pas le but.

Pas besoin d'être Madame Soleil pour déclarer que Monsieur Dupont-Aignant ne sera jamais Président de la République, ni même ministre, sauf effondrement du système d'alternance politique... et encore. Bien sur, il peut se déclarer l'héritier de De Gaulle (il n'est pas le seul), voire même du gaullisme dit social, mouvement qui n' a jamais arrêté de se ramasser depuis qu'il existe, mais ce qui ne l'empêchera tout de même pas de soutenir Nicolas Sarkozy en mai 2007, alors qu'il dénonçait ses méthodes quelques mois avant. Cherchez l'erreur.

De plus, Monsieur Dupont-Aignan voue aux gémonies un système qu'il considère comme obsolète et dénonce sur les plateaux de télévisions, ces journalistes qui vivent confortablement en profitant du système. De la part de personnages comme Besancenot ou Hautain qui se sont amusés à ce genre de constat, c'était déjà ridicule, mais de la part de Dupont-Aignan, c'est grotesque... Allons, allons, quand on est ancien chef de cabinet ministériel, et maire d'une commune bourgeoise de la région parisienne (qui ne respecte même pas le quota des logement sociaux... et de loin), on ne reproche pas aux journalistes des médias qui ont pignon sur rue d'être loin des aspirations des français, c'est l'hôpital qui se fout de la charité.

[armi24]

comme LO, NPA, le PdF et bien sur DLF, il n'y a pas de phénomène d'accrétion, il y a un seul chef ou du moins, une seule ligne et puis c'est tout. Derrière cet état d'esprit si on croit pouvoir rassembler au moins 50,001% des français, on se plante sérieusement ou alors ce n'est pas le but.

Pour LO et le NPA c'est vraiment que ce n'est pas le but, les élections sont un moyen de faire connaitre leurs idées et non à être élus.

[Profil supprimé]

comme LO, NPA, le PdF et bien sur DLF, il n'y a pas de phénomène d'accrétion, il y a un seul chef ou du moins, une seule ligne et puis c'est tout. Derrière cet état d'esprit si on croit pouvoir rassembler au moins 50,001% des français, on se plante sérieusement ou alors ce n'est pas le but.

Pour LO et le NPA c'est vraiment que ce n'est pas le but, les élections sont un moyen de faire connaitre leurs idées et non à être élus.

Mais qui ne connait pas les idées de cette mouvance trotskyste ? C'est, avec le PCF, mis à part (et encore, car le PCF aujourd'hui, je ne sais plus trop ce que c'est), le plus vieux mouvement politique européen. LO, c'est LO, ils sont restés scotchés à l'idée du grand soir, ce sont les derniers à chanter "l'internationale", composée il y a presque 150 ans : résultat, plus personne n'écoute... NPA, c'est un sel de modernité et d'ouverture en plus (écologie, tout ça...), mais une façon de faire et de penser tout aussi antique. La révolution prolétarienne, ce serait abandonner les I-Pod, les black berry, la peopolisation, la télé réalité et toutes ces fantaisies dans lequel les couches les plus modestes se délectent (j'oserais même dire : "se vautrent")... Impensable. Le communisme est mort depuis longtemps, même si son cadavre bouge encore.

[armi24]

comme LO, NPA, le PdF et bien sur DLF, il n'y a pas de phénomène d'accrétion, il y a un seul chef ou du moins, une seule ligne et puis c'est tout. Derrière cet état d'esprit si on croit pouvoir rassembler au moins 50,001% des français, on se plante sérieusement ou alors ce n'est pas le but.

Pour LO et le NPA c'est vraiment que ce n'est pas le but, les élections sont un moyen de faire connaitre leurs idées et non à être élus.

Mais qui ne connait pas les idées de cette mouvance trotskyste ? C'est, avec le PCF, mis à part (et encore, car le PCF aujourd'hui, je ne sais plus trop ce que c'est), le plus vieux mouvement politique européen. LO, c'est LO, ils sont restés scotchés à l'idée du grand soir, ce sont les derniers à chanter "l'internationale", composée il y a presque 150 ans : résultat, plus personne n'écoute... NPA, c'est un sel de modernité et d'ouverture en plus (écologie, tout ça...), mais une façon de faire et de penser tout aussi antique. La révolution prolétarienne, ce serait abandonner les I-Pod, les black berry, la peopolisation, la télé réalité et toutes ces fantaisies dans lequel les couches les plus modestes se délectent (j'oserais même dire : "se vautrent")... Impensable. Le communisme est mort depuis longtemps, même si son cadavre bouge encore.

Que ne comprenais vous pas sur le PCF (qui d’ailleurs chante aussi l'international)
Le communisme ce n'est pas forcément abandonné la technologie, au contraire nous voulons développer l’innovation sans qu'elles soient limité par les besoins de rentabilité du capitalisme.