Les circonscriptions susceptibles de basculer

[Nico]

Je me suis lancé dans l’exercice (très difficile) de lister les députés qui pourraient être élus en 2012, ce n’est qu’une ébauche qui peut évoluer, j’ai tenu compte des résultats de la présidentielle, des candidats, de leurs mandats, l’exercice est périlleux dans certains départements (Paris, Bouches-du-Rhône, Petite Couronne) et beaucoup plus simple dans d’autre (Aude, Ariège, Finistère). J’ai été assez généreux aussi avec EELV, dont j’ai misé un respect de l’accord avec le PS.

1° de l’Ain : Xavier Breton (UMP).
2° de l’Ain : Charles de la Verpillière (UMP).
3° de l’Ain : Jean-Marc Fognini (PS).
4° de l’Ain : Guillaume Lacroix (PRG).
5° de l’Ain : Damien Abad (NC).

1° de l’Aisne : René Dosière (DVG).
2° de l’Aisne : Xavier Bertrand (UMP).
3° de l’Aisne : Jean-Louis Bricout (PS).
4° de l’Aisne : Jean-Luc Lanouilh (PCF).
5° de l’Aisne : Isabelle Vasseur (UMP).

1° de l’Allier : Guy Chambefort (PS).
2° de l’Allier : Bernard Lesterlin (PS).
3° de l’Allier : Gérard Charasse (PRG).

1° des Alpes-de-Haute-Provence : Gilbert Sauvan (PS).
2° des Alpes-de-Haute-Provence : Christophe Castaner (PS).

1° des Hautes-Alpes : Karine Berger (PS).
2° des Hautes-Alpes : Joël Giraud (PRG).

1° des Alpes-Maritimes : Eric Ciotti (UMP).
2° des Alpes-Maritimes : Charles-Ange Ginésy (UMP).
3° des Alpes-Maritimes : Rudy Salles (NC).
4° des Alpes-Maritimes : Jean-Claude Guibal (UMP).
5° des Alpes-Maritimes : Christian Estrosi (UMP).
6° des Alpes-Maritimes : Lionnel Luca (UMP).
7° des Alpes-Maritimes : Jean Leonetti (PR).
8° des Alpes-Maritimes : Bernard Brochand (UMP).
9° des Alpes-Maritimes : Michèle Tabarot (UMP).

1° de l’Ardèche : Pascal Terrasse (PS).
2° de l’Ardèche : Olivier Dussopt (PS).
3° de l’Ardèche : Jean-Claude Flory (UMP).

1° des Ardennes : Claudine Ledoux (PS).
2° des Ardennes : Christophe Léonard (PS).
3° des Ardennes : Jean-Luc Warsmann (UMP).

1° de l’Ariège : Frédérique Massat (PS).
2° de l’Ariège : Alain Fauré (PS).

1° de l’Aube : Nicolas Dhuicq (UMP).
2° de l’Aube : Jean-Claude Mathis (UMP).
3° de l’Aube : François Baroin (UMP).

1° de l’Aude : Jean-Claude Perez (PS).
2° de l’Aude : Marie-Hélène Fabre (PS).
3° de l’Aude : Jean-Paul Dupré (PS).

1° de l’Aveyron : Yves Censi (UMP).
2° de l’Aveyron : Marie-Lou Marcel (PS).
3° de l’Aveyron : Marie-Thérèse Foulquier (EELV).

1° des Bouches-du-Rhône : Valérie Boyer (UMP).
2° des Bouches-du-Rhône : Dominique Tian (UMP).
3° des Bouches-du-Rhône : Sylvie Andrieux (PS).
4° des Bouches-du-Rhône : Patrick Mennucci (PS).
5° des Bouches-du-Rhône : Renaud Muselier (UMP).
6° des Bouches-du-Rhône : Guy Teissier (UMP).
7° des Bouches-du-Rhône : Henri Jibrayel (PS).
8° des Bouches-du-Rhône : Olivier Ferrand (PS).
9° des Bouches-du-Rhône : Bernard Deflesselles (UMP).
10° des Bouches-du-Rhône : Richard Mallié (UMP).
11° des Bouches-du-Rhône : Christian Kert (UMP).
12° des Bouches-du-Rhône : Eric Diard (UMP).
13° des Bouches-du-Rhône : Gaby Charroux (PCF).
14° des Bouches-du-Rhône : Maryse Joissains-Masini (UMP).
15° des Bouches-du-Rhône : Bernard Reynès (UMP).
16° des Bouches-du-Rhône : Michel Vauzelle (PS).

1° du Calvados : Philippe Duron (PS).
2° du Calvados : Laurence Dumont (PS).
3° du Calvados : Clotilde Valter (PS).
4° du Calvados : Nicole Ameline (UMP).
5° du Calvados : Cédric Nouvelot (UMP).
6° du Calvados : Alain Tourret (PRG).

1° du Cantal : Alain Calmette (PS).
2° du Cantal : Alain Marleix (UMP).

1° de Charente : Martine Pinville (PS).
2° de Charente : Marie-Line Reynaud (PS).
3° de Charente : Jérôme Lambert (PS).

1° de Charente-Maritime : Ségolène Royal (PS).
2° de Charente-Maritime : Suzanne Tallard (PS).
3° de Charente-Maritime : Catherine Quéré (PS).
4° de Charente-Maritime : Dominique Bussereau (UMP).
5° de Charente-Maritime : Didier Quentin (UMP).

1° du Cher : Yves Fromion (UMP).
2° du Cher : Nicolas Sansu (PCF).
3° du Cher : Yann Galut (PS).

1° de Corrèze : candidat PS.
2° de Corrèze : Philippe Nauche (PS).

1° de Corse-du-Sud : Simon Renucci (CSD).
2° de Corse-du-Sud : Camille de Rocca-Serra (UMP).

1° de Haute-Corse : Sauveur Gandolfi-Scheit (UMP).
2° de Haute-Corse : Paul Giacobbi (PRG).

1° de Côte-d’Or : Laurent Grandguillaume (PS).
2° de Côte-d’Or : Pierre Pribetich (PS).
3° de Côte-d’Or : Kheira Bouziane (PS).
4° de Côte-d’Or : François Sauvadet (NC).
5° de Côte-d’Or : Alain Suguenot (UMP).

1° des Côtes-d’Armor : Michel Lesage (PS).
2° des Côtes-d’Armor : Viviane Le Dissez (PS).
3° des Côtes-d’Armor : Loïc Cauret (PS).
4° des Côtes-d’Armor : Michel Balbot (EELV).
5° des Côtes-d’Armor : Corinne Erhel (PS).

1° de la Creuse : Michel Vergnier (PS).

1° de Dordogne : Pascal Deguilhem (PS).
2° de Dordogne : Brigitte Allain (EELV).
3° de Dordogne : Colette Langlade (PS).
4° de Dordogne : Germinal Peiro (PS).

1° du Doubs : Barbara Romagnan (PS).
2° du Doubs : Eric Alauzet (EELV).
3° du Doubs : Arnaud Marthey (PS).
4° du Doubs : Pierre Moscovici (PS).
5° du Doubs : Annie Genevard (UMP).

1° de Drôme : Alain Maurice (PS).
2° de Drôme : Catherine Coutard (MRC).
3° de Drôme : Hervé Mariton (UMP).
4° de Drôme : Marie-Hélène Thoraval (UMP).

1° de l’Eure : Bruno Le Maire (UMP).
2° de l’Eure : Jean-Louis Destans (PS).
3° de l’Eure : Hervé Morin (NC).
4° de l’Eure : François Loncle (PS).
5° de l’Eure : Franck Gilard (UMP).

1° de l’Eure-et-Loir : David Lebon (PS).
2° de l’Eure-et-Loir : Gisèle Boullais (PS).
3° de l’Eure-et-Loir : Harold Huwart (PRG).
4° de l’Eure-et-Loir : Philippe Vigier (NC).

1° du Finistère : Jean-Jacques Urvoas (PS).
2° du Finistère : Patricia Adam (PS).
3° du Finistère : Magali Deval (EELV).
4° du Finistère : Marylise Lebranchu (PS).
5° du Finistère : Jacques Le Guen (UMP).
6° du Finistère : Richard Ferrand (PS).
7° du Finistère : Annick Le Loch (PS).
8° du Finistère : Gilbert Le Bris (PS).

1° du Gard : Yvan Lachaud (NC).
2° du Gard : Etienne Mourrut (UMP).
3° du Gard : Jean-Marc Roubaud (UMP).
4° du Gard : Max Roustan (UMP).
5° du Gard : William Dumas (PS).
6° du Gard : Franck Proust (UMP).

1° de Haute-Garonne : Catherine Lemorton (PS).
2° de Haute-Garonne : Gérard Bapt (PS).
3° de Haute-Garonne : François Simon (EELV).
4° de Haute-Garonne : Martine Martinel (PS).
5° de Haute-Garonne : Françoise Imbert (PS).
6° de Haute-Garonne : Monique Iborra (PS).
7° de Haute-Garonne : Patrick Lemasle (PS).
8° de Haute-Garonne : Carole Delga (PS).
9° de Haute-Garonne : Christophe Borgel (PS).
10° de Haute-Garonne : Kader Arif (PS).

1° du Gers : Philippe Martin (PS).
2° du Gers : Gisèle Biémouret (PS).

1° de Gironde : Chantal Bourragué (UMP).
2° de Gironde : Michèle Delaunay (PS).
3° de Gironde : Noël Mamère (EELV).
4° de Gironde : Conchita Lacuey (PS).
5° de Gironde : Pascale Got (PS).
6° de Gironde : Marie Récalde (PS).
7° de Gironde : Alain Rousset (PS).
8° de Gironde : Yves Foulon (UMP).
9° de Gironde : Gilles Savary (PS).
10° de Gironde : Florent Boudié (PS).
11° de Gironde : Philippe Plisson (PS).
12° de Gironde : Martine Faure (PS).

1° de l’Hérault: Jean-Louis Roumégas (EELV).
2° de l’Hérault: Anne-Yvonne Le Dain (PS).
3° de l’Hérault: Jean-Pierre Grand (UMP).
4° de l’Hérault: Frédéric Roig (PS).
5° de l’Hérault: Kléber Mesquida (PS).
6° de l’Hérault: Elie Aboud (UMP).
7° de l’Hérault: Gilles d’Ettore (UMP).
8° de l’Hérault: Christian Assaf (PS).
9° de l’Hérault: Stéphan Rossignol (UMP).

1° d’Ille-et-Vilaine : Marie-Anne Chapdelaine (PS).
2° d’Ille-et-Vilaine : Nathalie Apperé (PS).
3° d’Ille-et-Vilaine : François André (PS).
4° d’Ille-et-Vilaine : Jean-René Marsac (PS).
5° d’Ille-et-Vilaine : Isabelle Le Callenec (UMP).
6° d’Ille-et-Vilaine : Thierry Benoit (AC).
7° d’Ille-et-Vilaine : Nicolas Belloir (UMP).
8° d’Ille-et-Vilaine : Marcel Rogemont (PS).

1° d’Indre : Michel Sapin (PS).
2° d’Indre : Nicolas Forissier (UMP).

1° d’Indre-et-Loire : Jean-Patrick Gille (PS).
2° d’Indre-et-Loire : Claude Greff (UMP).
3° d’Indre-et-Loire : Marisol Touraine (PS).
4° d’Indre-et-Loire : Laurent Baumel (PS).
5° d’Indre-et-Loire : Philippe Briand (UMP).

1° de l’Isère : Geneviève Fioraso (PS).
2° de l’Isère : Renzo Sulli (PCF).
3° de l’Isère : Michel Destot (PS).
4° de l’Isère : Marie-Noëlle Battistel (PS).
5° de l’Isère : François Brottes (PS).
6° de l’Isère : Alain Moyne-Bressand (UMP).
7° de l’Isère : Jean-Pierre Barbier (UMP).
8° de l’Isère : Erwann Binet (PS).
9° de l’Isère : Michèle Bonneton (EELV).
10° de l’Isère : Joëlle Huillier (PS).

1° du Jura : Jacques Pélissard (UMP).
2° du Jura : Marie-Christine Dalloz (UMP).
3° du Jura : Patrick Viverge (PG).

1° des Landes : Alain Vidalies (PS).
2° des Landes : Jean-Pierre Dufau (PS).
3° des Landes : Henri Emmanuelli (PS).

1° du Loir-et-Cher : Denys Robiliard (PS).
2° du Loir-et-Cher : Patrice Martin-Lalande (UMP).
3° du Loir-et-Cher : Maurice Leroy (NC).

1° de Loire : Régis Juanico (PS).
2° de Loire : Jean-Louis Gagnaire (PS).
3° de Loire : Philippe Kizirian (PS).
4° de Loire : Dino Cinieri (PCD).
5° de Loire : Laure Deroche (PS).
6° de Loire : Paul Salen (UMP).

1° de Haute-Loire : Laurent Wauquiez (UMP).
2° de Haute-Loire : André Chapaveire (PS).

1° de Loire-Atlantique : François de Rugy (EELV).
2° de Loire-Atlantique : Marie-Françoise Clergeau (PS).
3° de Loire-Atlantique : Jean-Marc Ayrault (PS).
4° de Loire-Atlantique : Dominique Raimbourg (PS).
5° de Loire-Atlantique : Michel Ménard (PS).
6° de Loire-Atlantique : Michel Hunault (NC).
7° de Loire-Atlantique : Christophe Priou (UMP).
8° de Loire-Atlantique : Marie-Odile Bouillé (PS).
9° de Loire-Atlantique : Monique Rabin (PS).
10° de Loire-Atlantique : Laurent Dejoie (UMP).

1° du Loiret : Olivier Carré (UMP).
2° du Loiret : Christophe Chaillou (PS).
3° du Loiret : Philippe Froment (PS).
4° du Loiret : Jean-Pierre Door (UMP).
5° du Loiret : Marianne Dubois (UMP).
6° du Loiret : Valérie Corre (PS).

1° du Lot : Dominique Orliac (PRG).
2° du Lot : Jean Launay (PS).

1° du Lot-et-Garonne : Jean Dionis du Séjour (NC).
2° du Lot-et-Garonne : Mathias Fekl (PS).
3° du Lot-et-Garonne : Jérôme Cahuzac (PS).

1° de Lozère : Pierre Morel-à-l’Huissier (UMP).

1° du Maine-et-Loire : Luc Belot (PS).
2° du Maine-et-Loire : Marc Goua (PS).
3° du Maine-et-Loire : Jean-Michel Marchand (PRG).
4° du Maine-et-Loire : Michel Piron (UMP).
5° du Maine-et-Loire : Gillse Bourdouleix (CNIP).
6° du Maine-et-Loire : Hervé de Charrette (NC).
7° du Maine-et-Loire : Marc Laffineur (UMP).

1° de Manche : Philippe Gosselin (UMP).
2° de Manche : Guénaël Huet (UMP).
3° de Manche : Alain Cousin (UMP).
4° de Manche : Bernard Cazeneuve (PS).

1° de Marne : Arnaud Robinet (UMP).
2° de Marne : Eric Quénard (PS).
3° de Marne : Philippe-Armand Martin (UMP).
4° de Marne : Benoist Apparu (UMP).
5° de Marne : Charles de Courson (NC).

1° de Haute-Marne : Luc Châtel (UMP).
2° de Haute-Marne : Paul-Marie Couteaux (FN).

1° de Mayenne : Guillaume Garot (PS).
2° de Mayenne : Elisabeth Doineau (AC).
3° de Mayenne : Yannick Favennec (UMP).

1° de Meurthe-et-Moselle : Laurent Hénart (PR).
2° de Meurthe-et-Moselle : Hervé Féron (PS).
3° de Meurthe-et-Moselle : Christian Eckert (PS).
4° de Meurthe-et-Moselle : Jacques Lamblin (UMP).
5° de Meurthe-et-Moselle : Nadine Morano (UMP).
6° de Meurthe-et-Moselle : Jean-Yves Le Déaut (PS).

1° de Meuse : Diana André (PS).
2° de Meuse : Jean-Louis Dumont (PS).

1° du Morbihan : François Goulard (UMP).
2° du Morbihan : Michel Grall (UMP).
3° du Morbihan : Jean-Pierre Le Roch (PS).
4° du Morbihan : Paul Molac (UDB).
5° du Morbihan : Gwendal Rouillard (PS).
6° du Morbihan : Jacques Le Nay (UMP).

1° de Moselle : Aurélie Filipetti (PS).
2° de Moselle : Jean-Michel Toulouze (PS).
3° de Moselle : Marie-Jo Zimmermann (UMP).
4° de Moselle : Alain Marty (UMP).
5° de Moselle : Céleste Lett (UMP).
6° de Moselle : Laurent Kalinowski (PS).
7° de Moselle : André Wojciechowski (PR).
8° de Moselle : Michel Liebgott (PS).
9° de Moselle : Anne Grommerch (UMP).

1° de Nièvre : Martine Carrillon-Couvreur (PS).
2° de Nièvre : Christian Paul (PS).

1° du Nord : Bernard Roman (PS).
2° du Nord : Audrey Linkenheld (PS).
3° du Nord : Rémi Pauvros (PS).
4° du Nord : Marc-Philippe Daubresse (UMP).
5° du Nord : Alain Cacheux (PS).
6° du Nord : Thierry Lazaro (UMP).
7° du Nord : Francis Vercamer (NC).
8° du Nord : Slimane Tir (EELV).
9° du Nord : Bernard Gérard (UMP).
10° du Nord : Gérald Darmanin (UMP).
11° du Nord : Yves Durand (PS).
12° du Nord : Christian Bataille (PS).
13° du Nord : Christian Hutin (MRC).
14° du Nord : Jean-Pierre Decool (UMP).
15° du Nord : Jean-Pierre Allossery (PS).
16° du Nord : Jean-Jacques Candelier (PCF).
17° du Nord : Marc Dolez (PG).
18° du Nord : François-Xavier Villain (DLR).
19° du Nord : Michel Lefebvre (PCF).
20° du Nord : Alain Bocquet (PCF).
21° du Nord : Jean-Louis Borloo (PR).

1° de l’Oise : Béatrice Lejeune (PS).
2° de l’Oise : Sylvie Houssin (PS).
3° de l’Oise : Michel Françaix (PS).
4° de l’Oise : Eric Woerth (UMP).
5° de l’Oise : Fabrice Dalongeville (PRG).
6° de l’Oise : François-Michel Gonnot (UMP).
7° de l’Oise : Claude Gewerc (PS).

1° de l’Orne : Bertrand Deniaud (UMP).
2° de l’Orne : Véronique Louwagie (UMP).
3° de l’Orne : Jérôme Nury (UMP).

1° du Pas-de-Calais : Jean-Jacques Cottel (PS).
2° du Pas-de-Calais : Bertrand Alexandre (MRC).
3° du Pas-de-Calais : Guy Delcourt (PS).
4° du Pas-de-Calais : Daniel Fasquelle (UMP).
5° du Pas-de-Calais : Frédéric Cuvillier (PS).
6° du Pas-de-Calais : Hervé Poher (DVG).
7° du Pas-de-Calais : Jacky Hénin (PCF).
8° du Pas-de-Calais : Michel Lefait (PS).
9° du Pas-de-Calais : Stéphane Saint-André (PRG).
10° du Pas-de-Calais : Serge Janquin (PS).
11° du Pas-de-Calais : Philippe Kemel (PS).
12° du Pas-de-Calais : candidat PS.

1° du Puy-de-Dôme : Odile Saugues (PS).
2° du Puy-de-Dôme : Christine Pirès-Beaune (PS).
3° du Puy-de-Dôme : Louis Giscard-d’Estaing (UMP).
4° du Puy-de-Dôme : Jean-Paul Bacquet (PS).
5° du Puy-de-Dôme : André Chassaigne (PCF).

1° des Pyrénées-Atlantiques : Martine Lignières-Cassou (PS).
2° des Pyrénées-Atlantiques : François Bayrou (MoDem).
3° des Pyrénées-Atlantiques : David Habib (PS).
4° des Pyrénées-Atlantiques : Jean Lassalle (MoDem).
5° des Pyrénées-Atlantiques : Colette Capdevielle (PS).
6° des Pyrénées-Atlantiques : Michèle Alliot-Marie (UMP).

1° des Hautes-Pyrénées : Jean Glavany (PS).
2° des Hautes-Pyrénées : Jeanine Dubié (PRG).

1° des Pyrénées-Orientales : Daniel Mach (UMP).
2° des Pyrénées-Orientales : Jean-Paul Alduy (PR).
3° des Pyrénées-Orientales : Ségolène Neuville (PS).
4° des Pyrénées-Orientales : Pierre Aylagas (PS).

1° du Bas-Rhin : Armand Jung (PS).
2° du Bas-Rhin : Philippe Bies (PS).
3° du Bas-Rhin : André Schneider (UMP).
4° du Bas-Rhin : Yves Bur (UMP).
5° du Bas-Rhin : Antoine Herth (UMP).
6° du Bas-Rhin : Laurent Furst (PR).
7° du Bas-Rhin : Patrick Hetzel (UMP).
8° du Bas-Rhin : Frédéric Reiss (PR).
9° du Bas-Rhin : Nicole Thomas (UMP).

1° du Haut-Rhin : Eric Straumann (UMP).
2° du Haut-Rhin : Jean-Louis Christ (UMP).
3° du Haut-Rhin : Jean-Luc Reitzer (UMP).
4° du Haut-Rhin : Michel Sordi (UMP).
5° du Haut-Rhin : Arlette Grosskost (UMP).
6° du Haut-Rhin : Francis Hillmeyer (NC).

1° du Rhône : Philippe Meirieu (EELV).
2° du Rhône : Pierre-Alain Muet (PS).
3° du Rhône : Jean-Louis Touraine (PS).
4° du Rhône : Dominique Nachury (UMP).
5° du Rhône : Philippe Cochet (UMP).
6° du Rhône : Pascale Crozon (PS).
7° du Rhône : Hélène Geoffroy (PS).
8° du Rhône : Patrice Verchère (UMP).
9° du Rhône : Bernard Perrut (UMP).
10° du Rhône : Christophe Guilloteau (UMP).
11° du Rhône : Raymond Durand (NC).
12° du Rhône : Michel Terrot (UMP).
13° du Rhône : Philippe Meunier (UMP).
14° du Rhône : Yves Blein (PS).

1° de Haute-Saône : Alain Chrétien (UMP).
2° de Haute-Saône : Jean-Michel Villaumé (PS).

1° de Saône-et-Loire : Gérard Voisin (UMP).
2° de Saône-et-Loire : Nicolas Guillemet (EELV).
3° de Saône-et-Loire : Philippe Baumel (PS).
4° de Saône-et-Loire : Cécile Untermaïer (PS).
5° de Saône-et-Loire : Christophe Sirugue (PS).

1° de Sarthe : Fabienne Labrette-Ménager (UMP).
2° de Sarthe : Marietta Karamanli (PS).
3° de Sarthe : Béatrice Pavy (UMP).
4° de Sarthe : Stéphane Le Foll (PS).
5° de Sarthe : Dominique Le Mèner (UMP).

1° de Savoie : Dominique Dord (UMP).
2° de Savoie : Hervé Gaymard (UMP).
3° de Savoie : Béatrice Santais (PS).
4° de Savoie : Bernadette Laclais (PS).

1° de Haute-Savoie : Bernard Accoyer (UMP).
2° de Haute-Savoie : Lionel Tardy (UMP).
3° de Haute-Savoie : Martial Saddier (UMP).
4° de Haute-Savoie : Virginie Duby-Muller (UMP).
5° de Haute-Savoie : Marc Francina (UMP).
6° de Haute-Savoie : Sophie Dion (UMP).

1° de Paris : Pierre Lellouche (UMP).
2° de Paris : François Fillon (UMP).
3° de Paris : Annick Lepetit (PS).
4° de Paris : Bernard Debré (UMP).
5° de Paris : Seybah Dagoma (PS).
6° de Paris : Cécile Duflot (EELV).
7° de Paris : Patrick Bloche (PS).
8° de Paris : Sandrine Mazetier (PS).
9° de Paris : Jean-Marie Le Guen (PS).
10° de Paris : Denis Baupin (EELV).
11° de Paris : Jean-Pierre Lecoq (UMP).
12° de Paris : Philippe Goujon (UMP).
13° de Paris : Jean-François Lamour (UMP).
14° de Paris : Claude Goasguen (UMP).
15° de Paris : George Pau-Langevin (PS).
16° de Paris : Jean-Christophe Cambadélis (PS).
17° de Paris : Daniel Vaillant (PS).
18° de Paris : Christophe Caresche (PS).

1° de Seine-Maritime : Valérie Fourneyron (PS).
2° de Seine-Maritime : Françoise Guégot (UMP).
3° de Seine-Maritime : Luce Pane (PS).
4° de Seine-Maritime : Laurent Fabius (PS).
5° de Seine-Maritime : Christophe Bouillon (PS).
6° de Seine-Maritime : Sandrine Hurel (PS).
7° de Seine-Maritime : Edouard Philippe (UMP).
8° de Seine-Maritime : Jean-Paul Lecoq (PCF).
9° de Seine-Maritime : Estelle Grelier (PS).
10° de Seine-Maritime : Alfred Trassy-Paillogues (UMP).

1° de Seine-et-Marne : Jean-Claude Mignon (UMP).
2° de Seine-et-Marne : Valérie Lacroute (UMP).
3° de Seine-et-Marne : Yves Jégo (PR).
4° de Seine-et-Marne : Christian Jacob (UMP).
5° de Seine-et-Marne : Franck Riester (UMP).
6° de Seine-et-Marne : Jean-François Copé (UMP).
7° de Seine-et-Marne : Yves Albarello (UMP).
8° de Seine-et-Marne : Eduardo Rihan-Cypel (PS).
9° de Seine-et-Marne : Guy Geoffroy (UMP).
10° de Seine-et-Marne : Emeric Bréhier (PS).
11° de Seine-et-Marne : Olivier Faure (PS).

1° des Yvelines : François de Mazières (UMP).
2° des Yvelines : Valérie Pécresse (UMP).
3° des Yvelines : candidat UMP.
4° des Yvelines : Pierre Lequiller (UMP).
5° des Yvelines : Jacques Myard (UMP).
6° des Yvelines : Eddie Aït (PRG).
7° des Yvelines : Arnaud Richard (PR).
8° des Yvelines : Cécile Dumoulin (UMP).
9° des Yvelines : Jean-Marie Tétart (UMP).
10° des Yvelines : Jean-Frédéric Poisson (PCD).
11° des Yvelines : Benoît Hamon (PS).
12° des Yvelines : David Douillet (UMP).

1° des Deux-Sèvres : Geneviève Gaillard (PS).
2° des Deux-Sèvres : Delphine Batho (PS).
3° des Deux-Sèvres : Jean Grellier (PS).

1° de Somme : candidat PS.
2° de Somme : Barbara Pompili (EELV).
3° de Somme : Jérôme Bignon (UMP).
4° de Somme : Alain Gest (UMP).
5° de Somme : Valérie Kumm (PS).

1° du Tarn : Gérard Poujade (PS).
2° du Tarn : Jacques Valax (PS).
3° du Tarn : Linda Gourjade (PS).

1° du Tarn-et-Garonne : Valérie Rabault (PS).
2° du Tarn-et-Garonne : Sylvia Pinel (PRG).

1° du Var : Geneviève Lévy (UMP).
2° du Var : Philippe Vitel (UMP).
3° du Var : Jean-Pierre Giran (UMP).
4° du Var : Jean-Michel Couve (UMP).
5° du Var : Georges Ginesta (UMP).
6° du Var : Josette Pons (UMP).
7° du Var : Jean-Sébastien Vialatte (UMP).
8° du Var : Olivier Audibert-Troin (UMP).

1° du Vaucluse : Michèle Armand-Fournier (PS).
2° du Vaucluse : Jean-Claude Bouchet (UMP).
3° du Vaucluse : Marion Maréchal Le Pen (FN).
4° du Vaucluse : Bénédicte Martin (UMP).
5° du Vaucluse : Julien Aubert (UMP).

1° de Vendée : candidat UMP.
2° de Vendée : Dominique Caillaud (UMP).
3° de Vendée : Louis Guédon (UMP).
4° de Vendée : Véronique Besse (MPF).
5° de Vendée : Dominique Souchet (MPF).

1° de Vienne : Alain Claeys (PS).
2° de Vienne : Catherine Coutelle (PS).
3° de Vienne : Jean-Michel Clément (PS).
4° de Vienne : Jean-Pierre Abelin (NC).

1° de Haute-Vienne : Alain Rodet (PS).
2° de Haute-Vienne : Daniel Boisserie (PS).
3° de Haute-Vienne : Catherine Beaubatie (PS).

1° des Vosges : Michel Heinrich (UMP).
2° des Vosges : Gérard Cherpion (UMP).
3° des Vosges : François Vannson (UMP).
4° des Vosges : Jean-Jacques Gaultier (UMP).

1° de l’Yonne : Guillaume Larrivé (UMP).
2° de l’Yonne : Jean-Marie Rolland (UMP).
3° de l’Yonne : Marie-Louise Fort (UMP).

1° du Territoire-de-Belfort : Anne-Marie Forcinal (PS).
2° du Territoire-de-Belfort : Etienne Butzbach (MRC).

1° de l’Essonne : Manuel Valls (PS).
2° de l’Essonne : Franck Marlin (UMP).
3° de l’Essonne : Geneviève Colot (UMP).
4° de l’Essonne : Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP).
5° de l’Essonne : Maud Olivier (PS).
6° de l’Essonne : François Lamy (PS).
7° de l’Essonne : Gabriel Amard (PG).
8° de l’Essonne : Nicolas Dupont-Aignan (DLR).
9° de l’Essonne : Thierry Mandon (PS).
10° de l’Essonne : Malek Boutih (PS).

1° des Hauts-de-Seine : Roland Muzeau (PCF).
2° des Hauts-de-Seine : Manuel Aeschlimann (UMP).
3° des Hauts-de-Seine : Jacques Kossowski (UMP).
4° des Hauts-de-Seine : Jacqueline Fraysse (FASE).
5° des Hauts-de-Seine : Patrick Balkany (UMP).
6° des Hauts-de-Seine : candidat UMP.
7° des Hauts-de-Seine : Patrick Ollier (UMP).
8° des Hauts-de-Seine : Jean-Jacques Guillet (UMP).
9° des Hauts-de-Seine : Claude Guéant (UMP).
10° des Hauts-de-Seine : Lucile Schmid (EELV).
11° des Hauts-de-Seine : Marie-Hélène Amiable (PCF).
12° des Hauts-de-Seine : candidat PS.
13° des Hauts-de-Seine : Julien Landfried (MRC).

1° de Seine-Saint-Denis : Bruno Le Roux (PS).
2° de Seine-Saint-Denis : Patrick Braouezec (FASE).
3° de Seine-Saint-Denis : Michel Pajon (PS).
4° de Seine-Saint-Denis : Marie-George Buffet (PCF).
5° de Seine-Saint-Denis : Abdel-Madjid Sadi (FG).
6° de Seine-Saint-Denis : Elisabeth Guigou (PS).
7° de Seine-Saint-Denis : Jean-Pierre Brard (CAP).
8° de Seine-Saint-Denis : Patrice Calméjane (UMP).
9° de Seine-Saint-Denis : Claude Bartolone (PS).
10° de Seine-Saint-Denis : Daniel Goldberg (PS).
11° de Seine-Saint-Denis : Stéphane Gatignon (EELV).
12° de Seine-Saint-Denis : Pascal Popelin (PS).

1° du Val-de-Marne : Henri Plagnol (UMP).
2° du Val-de-Marne : Laurent Cathala (PS).
3° du Val-de-Marne : Joseph Rossignol (PG).
4° du Val-de-Marne : Jacques-Alain Bénisti (UMP).
5° du Val-de-Marne : Gilles Carrez (UMP).
6° du Val-de-Marne : Patrick Beaudouin (UMP).
7° du Val-de-Marne : Jean-Jacques Bridey (PS).
8° du Val-de-Marne : Michel Herbillon (UMP).
9° du Val-de-Marne : René Rouquet (PS).
10° du Val-de-Marne : Pierre Gosnat (PCF).
11° du Val-de-Marne : Jean-Yves Le Bouillonnec (PS).

1° du Val-d’Oise : Philippe Houillon (UMP).
2° du Val-d’Oise : Guillaume Vuilletet (EELV).
3° du Val-d’Oise : Jean Bardet (UMP).
4° du Val-d’Oise : Gérard Sebaoun (PS).
5° du Val-d’Oise : Philippe Doucet (PS).
6° du Val-d’Oise : François Scellier (PR).
7° du Val-d’Oise : Jérôme Chartier (UMP).
8° du Val-d’Oise : François Pupponi (PS).
9° du Val-d’Oise : Jean-Pierre Blazy (PS).
10° du Val-d’Oise : Dominique Lefebvre (PS).

1° de Guadeloupe : Eric Jalton (DVG).
2° de Guadeloupe : Gabrielle Louis-Carabin (DVG).
3° de Guadeloupe : Jeanny Marc (PRG).
4° de Guadeloupe : Victorin Lurel (PS).

1° de Guyane : candidat PRG.
2° de Guyane : candidat UMP.

1° de Martinique : Louis-Joseph Manscour (PS).
2° de Martinique : candidat DVG.
3° de Martinique : Serge Letchimy (PPM).
4° de Martinique : candidat DVG.

1° de Réunion : Ericka Bareigts (PS).
2° de Réunion : Huguette Bello (DVG).
3° de Réunion : Jean-Jacques Vlody (PS).
4° de Réunion : Patrick Lebreton (PS).
5° de Réunion : Jean-Claude Fruteau (PS).
6° de Réunion : Maurice Gironcel (DVG).
7° de Réunion : Thierry Robert (MoDem).

1° de Mayotte : Zaïdou Tavanday (UMP).
2° de Mayotte : Mansour Kamardine (UMP).

1° de Nouvelle-Calédonie : Gaël Yanno (UMP).
2° de Nouvelle-Calédonie : Eric Gay (UMP).

1° de Polynésie Française : candidat UMP.
2° de Polynésie Française : Bruno Sandras (UMP).
3° de Polynésie Française : candidat UMP.

1° de Wallis-et-Futuna : Albert Likuvalu (PRG).

1° de Saint-Barthélemy et Saint-Martin : candidat UMP.

1° de Saint-Pierre-et-Miquelon : Annick Girardin (PRG).

1° des Français établis hors de France : Frédéric Lefebvre (UMP).
2° des Français établis hors de France : Pascal Drouhaud (UMP).
3° des Français établis hors de France : Emmanuelle Savarit (UMP).
4° des Français établis hors de France : Marie-Anne Montchamp (UMP).
5° des Français établis hors de France : Laurence Sailliet (UMP).
6° des Français établis hors de France : Claudine Schmid (UMP).
7° des Français établis hors de France : Pierre-Yves Le Borgn’ (PS).
8° des Français établis hors de France : Valérie Hoffenberg (UMP).
9° des Français établis hors de France : Pouria Armishahi (PS).
10° des Français établis hors de France : Alain Marsaud (UMP).
11° des Français établis hors de France : Thierry Mariani (UMP).

En résumé, selon mes calculs et pronostics (assez favorables à la gauche et à EELV), nous aurions :
-22 Front de Gauche (14 PCF, 4 PG, 2 FASE, 1 CAP, 1 FG).
-17 Radicaux de gauche.
-257 Socialistes et apparentés (247 PS, 8 DVG, 1 CSD, 1 PPM).
-20 Ecologistes (19 EELV, 1 UDB).
-5 MRC.
-30 Centristes (15 NC, 9 PR, 3 MoDem, 2 AC, 1 CNIP).
-224 de la Droite Parlementaire (218 UMP, 2 DLR, 2 MPF, 2 PCD).
-2 Frontistes.

Le bloc de gauche est de 321 sièges (55,63%) tandis que celui de droite serait de 256 sièges (44,37%).

[Vaulti]

En résumé, selon mes calculs et pronostics (assez favorables à la gauche et à EELV), nous aurions :
-22 Front de Gauche (14 PCF, 4 PG, 2 FASE, 1 CAP, 1 FG).
-17 Radicaux de gauche.
-257 Socialistes et apparentés (247 PS, 8 DVG, 1 CSD, 1 PPM).
-20 Ecologistes (19 EELV, 1 UDB).
-5 MRC.
-30 Centristes (15 NC, 9 PR, 3 MoDem, 2 AC, 1 CNIP).
-224 de la Droite Parlementaire (218 UMP, 2 DLR, 2 MPF, 2 PCD).
-2 Frontistes.

Le bloc de gauche est de 321 sièges (55,63%) tandis que celui de droite serait de 256 sièges (44,37%).

On est quand même ici avec une victoire à minima de la gauche avec une surreprésentation écologiste qui sont pour la plupart des parachutés sans légitimité locale.
Il y a certaines abbérations comme la victoire de Flory en Ardèche alors que la gauche est très loin devant (46% au premier tour de la présidentielle) et quelques triangulaires (difficiles à prévoir) qui coûteront des sièges à l'UMP.

[Fabien]

Cécile Duflot élue dans la 6eme de Paris face à la socialiste sortante?! :lol:

Mis à part ce type de pronostics un peu aventureux, cela tient la route. Pour ma part, je ne verrais pas autant de sièges pour l'UMP, et surtout pour EELV, qui va se voir étriller un peu partout par des socialistes officiellement dissidents, mais qui en fait auront le soutien de tout l'appareil local...

[Nico]

Mis à part ce type de pronostics un peu aventureux, cela tient la route. Pour ma part, je ne verrais pas autant de sièges pour l'UMP, et surtout pour EELV, qui va se voir étriller un peu partout par des socialistes officiellement dissidents, mais qui en fait auront le soutien de tout l'appareil local...

Tout à fait, je ne tiens pas compte des dissidences et j'ai laissé de côté les triangulaires. J'attends les résultats du second tour pour affiner cette liste, car si Hollande est élu à plus de 55%, je vais pouvoir rayer de la liste beaucoup d'inscrits à l'UMP. Pour EELV, j'ai effectivement été généreux comme je ne tiens pas compte réellement ou partiellement des dissidences, pour le FG, je m'en suis tenu au minimum syndical ;) .

[Eco92]

Je suis surpris sur certains points quand même (je doute des chances de Lanfried dans la XIIIe face à Devedjan par ex., trop d'écologistes sans doute aussi), et je me demande aussi qu'est-ce qui a pu amener la victoire des deux FN (d'ailleurs paul marie couteaux n'est pas FN, mais au SIEL - « Souveraineté, indépendance et libertés »), je ne connais pas du tout les situations locales peux-tu détailler ?

[alamo]

c'est toujours amusant d'avoir ce type de pronostics pour pouvoir au final les comparer avec la réalité sortie des urnes.
il risque d'y avoir pas mal de différences quand même
Comme certains l'ont pointé, le nombre de députés EELV est sans doute à diviser par deux, et ce serait encore un bon résultat.
Je ne pense pas que Duflot, Gatignon, Balbot ou la candidate EELV de Bergerac doivent se précipiter pour commander leur voiture de fonction...
Une chose est le respect de l'accord PS / EELV par les appareils politiques (renoncement de candidatures dissidentes), une autre est son respect par les électeurs, dont beaucoup ne le jugent pas forcément respectable

Les triangulaires avec le FN peuvent inverser le résultat dans des départements entiers comme le Vaucluse ou le Gard, et laisser sur le tapis des Gonnot, Maillé voire Borloo.
Et à l'inverse, certains sortants UMP sauveront leur peau grâce à leur cote personnelle, ou plus encore grâce aux divisions à gauche (allez, je vais citer Devedjian, pour énerver les nombreux contributeurs du forum résidant dans la 13ème circonscription des Hauts-de-Seine)

mais c'est courageux d'avoir tenté ce genre d'exercice avant le 2ème tour des Présidentielles, l'aboutissement ou non d'un accord "anti-FN" entre PS et FdG, le retour de Berlin de F. Hollande (triomphal ou péteux ?) après sa probable élection, la clarification des relations entre le FN et l'aile la plus droitière de l'UMP, et l'annonce des nombreuses dissidences nouvelles qui risquent de fleurir par contestation de l'accord PS-EELV (la différence de score va ouvrir quelques appétits), mais aussi de l'accord PS-FdG évoqué plus haut.
Tous éléments qui risquent de peser plus ou moins fortement sur les résultats des prochaines Législatives...

nous en saurons déjà un peu plus dans quinze jours...

[Jean-Philippe]

Merci à Nico, c'est une bonne base de départ avec les réserves qu'il a lui même relevé.
Les triangulaires risquent de coûter très cher à l'UMP (au moins une cinquantaine de sièges de droite perdus).

Je reviendrai plus tard sur les cas les plus discutables.

[Herimene]

Ces pronostics sont effectivement assez aventureux, car les résultats de la présidentielle pourraient les bouleverser, de même que l'accord PS-FG par exemple, voire également la consigne de maintien systématique du candidat UMP arrivé en troisième position et ayant atteint le seuil de 12,5% des inscrits (si elle est respectée).

Je suis étonné d'une part par les prévisions de députés FN, qui en prenant en compte uniquement les résultats de la présidentielle pourraient paraître sous-estimées, et qui me paraissent surtout peu vraisemblables car si Marine Le Pen n'est pas élue, je vois fort difficilement comment un autre candidat du FN pourrait l'être. En 2007 elle avait fait un score très honorable dans un contexte très défavorable (41,65% des voix au second tour). De plus Nicolas Sarkozy a fait dans sa circonscription un score acceptable au premier tour de la présidentielle (15,79%), en prenant en compte que le candidat UMP était arrivé en quatrième position aux législatives de 2007 (derrière le candidat de l'UDF-MoDem) et juste devant celui du PCF, avec seulement 12,95% des suffrages, alors qu'on était dans un contexte extrêmement favorable pour la droite parlementaire (vague bleue du premier tour des législatives, où rappelez-vous des candidats UMP avaient devancé parfois de 10 à 15 points des socialistes sortants). Que Sarkozy l'emporte ou non dimanche prochain, le score de l'UMP dans cette circonscription sera certainement inférieur à 10% des suffrages, ce qui profitera sans doute à Marine Le Pen. Biensûr l'union de la gauche au second tour peut empêcher l'élection de Marine Le Pen, mais si elle n'est pas élue dans cette circonscription où la droite parlementaire est très faible et où elle bénéficie d'une notoriété et d'une assise locale rare pour un candidat FN, je vois mal comment les parachutés pour l'occasion Paul-Marie Coûteaux et Marion Maréchal-Le Pen, pourraient eux s'en sortir.

D'autre part, je trouve également que le nombre de députés de gauche est sous-estimé. Pour ce qui est du nombre de députés d'écologistes, je pense qu'il est très légèrement sur-estimé, car beaucoup de dissidents PS vont abandonner avant les législatives et car mine de rien le label PS sur une affiche sera très précieux. Malgré tout je ne crois pas à la victoire de Cécile Duflot au vu de la mobilisation des socialistes parisiens derrière Danièle Hoffman-Rispal. Je ne pense pas par ailleurs que les résultats de l'UMP en l'Outre-Mer seront si bons (carton plein à Mayotte, Nouvelle-Calédonie, et en Polynésie Française). Je vois ici un report des résultats du premier tour de dimanche dernier. Il ne faut pas pour autant oublier que Ie camp de gauche, indépendantiste pour ce qui est de la Nouvelle-Calédonie et de la Polynésie, se mobilise très peu pour la présidentielle, ce qui explique les résultats prometteurs de l'UMP. Le conseil général de Mayotte est passé à gauche en 2011 et je vois mal par exemple comment on pourrait passer d'un député centriste à deux députés UMP (le sortant centriste est certes très menacé mais je vois mal aucun député de gauche). Pour la Polynésie, les autonomistes sont très divisés (camp Tong Sang soutenu par l'UMP et camp Flosse) ce qui ne peut que favoriser l'élection d'au moins un député indépendantiste soutenu par le PS. De même, pour la Corse, il faut rappeler que le FN est inexistant sur l'île et que semble t'il beaucoup de Nationalistes n'ont soit pas voté à la présidentielle soit voté FN ou UMP. Ainsi Rocca-Serra est très menacé et je crois beaucoup aux chances de Jean-Christophe Angelini (nationaliste modéré) face à lui.

[Eco92]

Et à l'inverse, certains sortants UMP sauveront leur peau grâce à leur cote personnelle, ou plus encore grâce aux divisions à gauche (allez, je vais citer Devedjian, pour énerver les nombreux contributeurs du forum résidant dans la 13ème circonscription des Hauts-de-Seine)

J'en suis, et j'avais justement donné cet exemple ;-)

[amateur]

Au vu des résultats du 1er tour, le FN a de bonnes chances sur les 11ème, 12 ème du Pas de Calais , les Pyrénées Orientales avec Alliot , la 2 ème du Gard, sur le littoral de l'Hérault, les Bouches du Rhône outre effectivement la 3 ème du Vaucluse où par malchance pour Marion LE PEN MARECHAL c'est la gauche qui risque d'être en position d'arbitre.
Ensuite, le FN peut-être élu comme pour les cantonales là où on ne l'attend pas notamment en duel face à un candidat de gauche.