Tarbes. Le PRG est en ordre de campagne politique
Le Parti radical de gauche (PRG) a investi six candidats, dont cinq sortants, aux cantonales des 20 et 27 mars 2011 (voir en encadré). Le parti apportera son soutien, dès le premier tour, à Claude Miqueu (Vic-en-Bigorre), apparenté PRG. Pour les dix autres cantons renouvelables, ce sera l'accord avec le Parti socialiste qui déterminera la ligne de conduite. « Contact est pris avec le PS pour une prochaine rencontre. Nous allons aussi rencontrer le PCF », indique Claude Gaits, président départemental du Parti radical de gauche. S'agissant de la présidence du conseil général, François Fortassin indique qu'il ne se présentera pas.
L'ancien président du conseil général est en revanche candidat à un deuxième mandat de sénateur.
« La gauche peut gagner la présidence du Sénat. ça se jouera dans un mouchoir, entre 3 et 5 sièges. Ce n'est pas le moment de s'engager dans des divisions gênantes par la suite. »
François Fortassin évoque le conflit entre Jean Glavany et Chantal Robin-Rodrigo. Sur lequel Claude Gaits fait une mise au point : « Je ne peux pas laisser passer les propos, réitérés, de Jean Glavany, pour le moins inélégants à l'encontre de Chantal Robin-Rodrigo et du PRG. Jean Glavany s'est permis des jugements de valeur… Le PRG a sa liberté d'appréciation. Jean Glavany dénonce les pratiques du maire de Tarbes et il fait ce qu'il reproche à Gérard Trémège quand on ne partage pas à 100 % son opinion. Il a utilisé des termes choquants ».
http://www.ladepeche.fr/article/2010/10 ... pagne.html