Républicain67 a écrit:(...)
De son côté, Nicolas Dupont-Aignan (DLF) a donné une interview au journal régional Var-Matin. Il vise toujours l'organisation d'une primaire souverainiste pour 2022 rassemblant "les gaullistes, les républicains, les patriotes et le RN". Si Florian Philippot est intéressé par une telle initiative, je doute que Marine Le Pen veuille y participer. Selon NDA, DLF ne fera pas des scrutins locaux de 2021 (départementales, régionales) une priorité. (...)
Herimene a écrit:Disons qu'on est plutôt dans le cadre de l'autopersuasion de la part de Dupont-Aignan. Après son échec aux Européennes malgré de relatifs bons sondages pendant plusieurs mois (lui permettant d'espérer des élus en tout cas), il est très improbable que DLF fasse aussi bien aux Régionales en 2015 où ils étaient en position de fusionner en Île-de-France et en Bourgogne-Franche-Comté : mauvaise dynamique et beaucoup de cadres sont partis, dont l'ancienne tête de liste en Bourgogne-Franche-Comté qui avait une certaine implantation locale d'ailleurs, passé brièvement au RN puis chez Les Patriotes et qui a désormais quitté la politique.
Je pense d'ailleurs que DLF a raté une grosse occasion à l'époque en Bourgogne-Franche-Comté car les têtes de liste du RN comme de la droite étaient ouvertes à des discussions pour une fusion de second tour, et vu combien le résultat a été serré entre les 3 listes en course au second tour, le soutien de DLF aurait pu permettre à la droite ou au RN de gagner. Mais à force de ne choisir en faveur ni de l'un ni de l'autre...
Français d'ailleurs a écrit:Herimene a écrit:Disons qu'on est plutôt dans le cadre de l'autopersuasion de la part de Dupont-Aignan. Après son échec aux Européennes malgré de relatifs bons sondages pendant plusieurs mois (lui permettant d'espérer des élus en tout cas), il est très improbable que DLF fasse aussi bien aux Régionales en 2015 où ils étaient en position de fusionner en Île-de-France et en Bourgogne-Franche-Comté : mauvaise dynamique et beaucoup de cadres sont partis, dont l'ancienne tête de liste en Bourgogne-Franche-Comté qui avait une certaine implantation locale d'ailleurs, passé brièvement au RN puis chez Les Patriotes et qui a désormais quitté la politique.
Je pense d'ailleurs que DLF a raté une grosse occasion à l'époque en Bourgogne-Franche-Comté car les têtes de liste du RN comme de la droite étaient ouvertes à des discussions pour une fusion de second tour, et vu combien le résultat a été serré entre les 3 listes en course au second tour, le soutien de DLF aurait pu permettre à la droite ou au RN de gagner. Mais à force de ne choisir en faveur ni de l'un ni de l'autre...
On peut qu’être d'accord avec vous, les souverainistes, en peu comme les centristes, ont du mal à se rassembler. Et, avec le temps, on a l'impression qu'il y a une multiplication de micro-parties souverainistes qui politiquement ne pèsent pas grand chose.
Je dis cela en temps que citoyen. Je ne suis membre d'aucun de ces partis, n'y d'aucun parti politique, ni syndicat d'ailleurs.
Quant au DLF, leur stratégie est très changeante, mais je pense que ça vient de la personnalité de Dupont-Aignan. Le personnage est très narcissique et qui n'arrive pas a stabiliser son équipe des cadres. Il y a un va-et-vient des cadres incessant au DLF, et, depuis 2017, ça fait déjà un 3eme secrétaire général nommé.
Républicain67 a écrit:Si jamais DLF, l'UPR et les Patriotes avaient été allié aux élections européennes de 2019, plutôt que de constituer trois listes distinctes, ils auraient fait ensemble 5,33% et obtenus des élus.
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