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Reste un canton (Aubergenville) où le candidat PS n'est pas encore connu.
Le PS a investi Kristell Lamandé, militante PS native d'Aubergenville.
de Nico78 » Sam 6 Nov 2010 22:45
Reste un canton (Aubergenville) où le candidat PS n'est pas encore connu.
de Nico78 » Sam 6 Nov 2010 22:58
maxxx a écrit:
La droite a de réels espoirs sur le canton de Plaisir : ce canton contient les communes de Plaisir et des Clayes-sous-Bois (et le petit village de Thiverval qui ne pèse rien électoralement (ses quelques 500 inscrits votent massivement à droite mais ça ne peut jouer qu'en cas de scrutin très serré)).
de maxxx » Sam 13 Nov 2010 15:46
Nico78 a écrit:maxxx a écrit:
La droite a de réels espoirs sur le canton de Plaisir : ce canton contient les communes de Plaisir et des Clayes-sous-Bois (et le petit village de Thiverval qui ne pèse rien électoralement (ses quelques 500 inscrits votent massivement à droite mais ça ne peut jouer qu'en cas de scrutin très serré)).
Petite précision pour Thiverval-Grignon : il y a 574 inscrits mais ils ne votent pas massivement à droite, bien au contraire. En 2007, S. Royal avait obtenu 49% (soit plus que la moyenne nationale) et au second tour de la législative, la gauche y avait obtenu 56,50% des voix (scrutin pourtant remporté par l'UMP). En écart de voix, cela ne faisait, certes, que 43 voix.
C'est un canton où le scrutin est très ouvert et qui peut effectivement basculer à droite.
de Nico78 » Ven 19 Nov 2010 18:44
de Nico78 » Mar 30 Nov 2010 09:58
de Nico78 » Mer 8 Déc 2010 09:24
Cantonales 2011 : Debout la République présente ses candidats
> Lotfi Hammoumraoui
Sylvia Cantaluppi, Camille Leconte et Robert Gronoff sont les trois premiers candidats désignés par Debout la République (DLR) pour les élections cantonales des 20 et 27 mars prochains.
« Les cantonales sont une grande première. C’est l’occasion pour nous de nous implanter davantage dans le département des Yvelines et de poursuivre la lancée des Régionales » déclare, enthousiaste, Jacques Naulot, le président de la fédération DLR Yvelines.
Le parti de Nicolas Dupont-Aignan sera donc représenté dans cinq cantons aux prochaines échéances électorales de mars 2011. Trois candidats se sont présentés à la presse : Sylvia Cantaluppi sur le canton de Saint-Cyr-L’Ecole, Camille Leconte sur celui de Plaisir et Robert Gronoff sur Limay. Deux autres candidats doivent être investis "dans les prochains jours".
De gauche à droite : Robert Gronoff, Sylvia Cantaluppi et Camille Leconte
Souhaitant « des élus libres qui privilégient le caractère local », Debout la République s’appuie sur « des candidats de proximité » qui, s’ils sont élus, « ne serons ni dans le camp de la majorité départementale ni dans l’opposition systématique ». « Le clivage politique est quelque chose d’obsolète. L’UMP et le PS mènent la même politique, c’est bien pour cela qu’on les appelle l’UMPS » ironise Sylvia Cantaluppi.
2012 en vue
Fort de ses 200 adhérents mais « avec bien plus de sympathisants », Jacques Naulot est optimiste sur les chances de son parti à remporter au moins un canton : « Debout la République est un parti encore peu connu mais nous possédons le langage qui parle aux électeurs notamment au sujet de l’Euro ». Car si la portée de l’élection est locale, la visée, elle, est nationale : « nous sommes sur le terrain pour faire connaître les idées de DLR et permettre à Nicolas Dupont-Aignan de rencontrer un succès à la présidentielle de 2012. » continue le président.
Pour ce faire, l’ennemi est déjà tout trouvé, l’Europe : « Nous sommes pour un changement de statut européen. Départements, Régions, communes, on dépend tous aujourd’hui des décisions prises par l’Europe. Un certain nombre de nos concitoyens pensent comme nous. Ils savent qu’il y a un problème au niveau de l’euro. C’est une monnaie mal construite car faite trop rapidement. Les gens ne sont pas idiots, ils ont bien vu leurs paniers de courses augmenter depuis que l’euro s’est mis en place. Le chômage est également croissant depuis son arrivée. ».
DLR a annoncé également soutenir Guillaume Sébileau, candidat sans étiquette, dans le canton d’Aubergenville. Il s’agit du deuxième soutien politique, après le groupe centriste des Yvelines, pour l’ancien suppléant de Philippe Gautry à la législative partielle de Poissy en 2009.
de Nico78 » Jeu 9 Déc 2010 13:40
Cantonales 2011 : Europe Ecologie-Les Verts vise tous les cantons renouvelables
> Alain Fitoussi
Dans la dynamique du rassemblement des Ecologistes, vingt femmes et vingt hommes « Europe Ecologie - les Verts », se présenteront devant les électrices et les électeurs, les 20 et 27 mars prochains. Une première pour le parti.
Bien décidés à renouveler la surprise des législatives partielles de juillet 2010, qui a conduit Anny Poursinoff à l’Assemblée Nationale pour la 10ème circonscription des Yvelines, « Europe Ecologie – Les Verts » présentera des candidates et candidats dans tous les cantons renouvelables.
"Les études menées pour des projets déconnectés des préoccupations des habitants (le circuit de Formule 1, la voie nouvelle de la vallée de la Mauldre) ou la destruction du site Natura 2000 à Rambouillet, ont coûté des sommes énormes. Ainsi, la gestion UMP du Département des Yvelines, autrefois le plus riche de France, a conduit à une augmentation des impôts de 15% en 2010." a indiqué le parti dans un communiqué qui donne le ton de sa campagne électorale.
Les candidats Europe Ecologie-Les Verts (titulaire/suppléant) :
- Andrésy : Joël Tissier/ Laurence Wastl
- Aubergenville : Mohamed Zerkoun / Michèle Orcel
- Conflans Sainte-Honorine : Christophe Quenet / Isabelle le Jeune
- Guerville : Bernard Choquier / Laurette Fleury
- Houdan : Marie Emmanuelle Guidée-Banerjee / Loïc Le Moigne
- La Celle Saint-Cloud : Gérard Lévy/ Delphine Delort-Jouves
- Le Chesnay : Laurence Ladurée /Yves Montalescot
- Le Pecq : Gilles Lamy/ Michèle Dudouet
- Le Vésinet : Anne Lise Leibiusky/ Franck Ternon
- Limay : Cédric Gouy/ Anne Marie Rochon
- Marly : Christian Castellanet/Sylvie Weil
- Plaisir : Aminata Mondin/ Joël Brunaud
- Montfort-L’Amaury : Philippe Heurtevent/ Dominique Duval
- Poissy-Sud : Jeanne Pothier/ Christophe Massiaux
- St Arnoult : Patricia Millot/ Michel Lacoux
- Saint-Cyr-L’Ecole : Françoise Fiat/ Luc Jonet
- Saint-Germain-en-Laye : Géraldine Poisson/ Carlos Lopes
- Sartrouville : Romain Chiaradia/ Dominique Luang Praseuth
- Versailles Nord : Brigitte Bouchet/ Philippe Ambroise
- Versailles Sud : Annie Coupas/ Manh Largemain
de Zimmer » Lun 20 Déc 2010 23:54
Cantonales 2011 : Philippe Pivert, candidat à Saint-Germain-Sud
lundi 20 décembre 2010
> Lotfi Hammoumraoui
L’adjoint à la mairie de Saint-Germain-en-Laye a créé la surprise, aujourd’hui à Versailles, en annonçant sa candidature aux prochaines élections cantonales lors d’une conférence de presse.
La droite a trouvé un autre candidat sur le canton de Saint-Germain-Sud. Après Catherine Péricard, conseillère général sortante investie par l’UMP, c’est au tour de Philippe Pivert, adjoint au maire chargé de la jeunesse, des sports, de la prévention et de la sécurité, de se lancer dans la bataille électorale : « Je me lance car j’avais cette idée depuis longtemps. Je l’ai mûrie et me suis dit que c’était le moment. » a-t-il déclaré devant les caméras d’Yvelines Première.
Philippe Pivert a rejoint le rassemblement « Yvelines Renouveau » initié par Philippe Brillault, maire du Chesnay et candidat sur le canton du même nom. Philippe Brillault avait été tête de liste DLR (Debout la République) dans les Yvelines lors des Régionales de mars 2010.
Pascal Lévêque (PS), Géraldine Poisson (EELV) et William Cardon (FN) se sont également déclarés candidats sur ce canton.
http://www.mediaseine.fr/Cantonales-2011-Philippe-Pivert-02353
de Zimmer » Mar 28 Déc 2010 12:46
de Nico78 » Mar 28 Déc 2010 20:05
Philippe Pivert : « Catherine Péricard a fait son temps »
> Lotfi Hammoumraoui
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Philippe Pivert (UMP) est candidat à l’élection cantonale de mars 2011 sur le canton de Saint-Germain-Sud alors que son parti a déjà investi Catherine Péricard, conseillère générale sortante. Mais l’heure de l’émancipation a sonné pour le maire adjoint de Saint-Germain-en-Laye qui désire remettre de la « proximité » dans l’action du Conseil général.
Philippe Pivert, pourquoi avoir décidé de vous porter candidat en mars 2011 dans votre canton ?
Philippe Pivert : Cela fait une dizaine d’années déjà que j’envisage de me présenter pour cette élection. J’ai laissé passer deux occasions car je considérai que les conditions n’étaient pas idéales. Cette fois-ci, j’estime être prêt pour aller jusqu’au bout.
J’ai été infirmier psychiatrique où j’ai vu énormément de misère humaine. Puis j’ai été cadre supérieur de santé. J’ai ainsi fréquenté tous les milieux. Avec ces acquis, je pense qu’il est temps que je me concentre plus largement sur les affaires publiques afin que je puisse partager une partie de mes connaissances.
Cette démarche est donc personnelle...
P.P : Bien sûr. Certains ont interprété ma candidature de manière biaisée en se demandant si ce n’est pas le maire de Saint-Germain-en-Laye, qui m’a poussé dans les pattes de Catherine Péricard. Ceux qui pensent cela ne sont pas venus me poser directement la question, afin de connaître les motivations réelles de ma candidature.
Cette candidature a été réfléchie avec Philippe Brillault, maire du Chesnay, avec qui je me suis beaucoup entretenu, ces derniers temps, sur la manière de faire de la politique. Nous sommes arrivés au même constat : il y a plein de gens qui ont des idées mais qui ne sont pas écoutés et qui ne sont jamais investis par leur parti. Pourtant, nous avons besoin, aujourd’hui, d’hommes et de femmes nouveaux en politique. Ce sont les nouvelles idées qui font évoluer les choses. Elles permettent d’avancer et de progresser. Nous avons besoin d’oxygène en politique dans notre pays et il faut aller la chercher. Autrement, nous allons étouffer. Voilà comment je vois la vie politique et nous sommes plusieurs à penser de la sorte.
C’est d’ailleurs ce que nous voulons promouvoir avec « Yvelines Renouveau » qui, je le précise, n’est pas un parti politique mais une action politique. Nous voulons montrer que nous sommes conscients de ce qui se passe dans les Yvelines.
Comment voyez-vous le rôle d’un conseiller général ?
P.P : Un conseiller général doit avoir une proximité avec les habitants de son canton. Cette proximité doit être permanente. La relation du département avec son canton doit se faire de la manière la plus proche possible avec ceux qui y vivent. C’est essentiel afin de pallier à certains besoins qu’ils soient sociaux, scolaires, associatifs, sportifs, etc. C’est pourquoi, il me parait important voire essentiel qu’un conseiller municipal soit conseiller général pour la proximité qu’il entretient avec les habitants et le suivi des dossiers de la vie publique.
Je ne suis pas un adepte de la vison politique futuriste. Je préfère voir ce que l’on peut faire tout de suite pour celui qui se trouve dans le besoin. Il y a des choses à faire immédiatement pour beaucoup de personnes.
Je vous donne un exemple. Il y a eu, vous vous en souvenez, un projet de circuit automobile à Flins-Les Mureaux. Je n’étais pas contre ce circuit d’ailleurs, à partir du moment où il contribuait à créer de l’emploi. Ce circuit automobile a été abandonné. Aujourd’hui, quid de l’argent que l’on avait envisagé pour la réalisation de ce projet ? Est-ce qu’il profite aujourd’hui aux stades, aux collèges, aux routes ?
Quand on voit que le Conseil général a augmenté les impôts, il faut que les gens, et notamment les plus en difficulté, puissent constater la manière dont cet argent est dépensé.
Voulez-vous dire par là que le Conseil général ne fait pas assez pour le volet social de sa politique ?
P.P : Disons que les choses pourraient sans doute être mieux faites. C’est ça mon problème. Je suis un élu de proximité, la réalité sociale je la connais. Je me dis qu’il y a des choses à faire. Il y a un travail de fond à réaliser auprès de ceux qui ont le plus besoin de la politique d’autant que ce sont ceux-là qui, paradoxalement, s’en détournent le plus. Il faut remettre du lien. La proximité permet cela.
Entendons-nous bien cependant, je ne suis pas Zorro ! Mais ma position de maire-adjoint à la jeunesse, aux sports à la prévention et à la sécurité me permet d’avoir un certain regard sur les problèmes à traiter en priorité et sur les domaines où la politique du Conseil général tarde à montrer ses effets.
Nous devons être cohérents dans les politiques à mener c’est-à -dire regarder les besoins autour de soi et agir en conséquence. C’est comme cela que j’imagine les choses. Cela a toujours été mon approche.
Certains interpréteront votre démarche comme une politique de gauche, n’est-ce pas peut-être ce qu’il manque dans un département en grande majorité ancré à droite ?
P.P : La droite a un programme social également. Moi, je suis un homme de droite, mes parents étaient gaullistes. Je me considère donc dans la même lignée. Vous allez peut-être me trouver naïf mais que l’on soit de gauche ou de droite, je reste persuadé que nous sommes tous des humanistes. A un moment donné en politique, il va falloir cesser ce clivage gauche/droite. On peut tous s’apporter les uns les autres.
Ce sont les individus et leurs projets qui sont porteurs d’avenir, pas une caste ou un parti. Au contraire, un parti à tendance à étouffer les bonnes idées. On ne se met pas au service d’un parti mais au service des idées qui feront avancer l’ensemble des citoyens. Et moi, je veux avancer. Pour cela, il faut être libre et faire des propositions. C’est ce à quoi je vais m’atteler durant cette campagne. Je veux défendre mes idées. Mon intention est uniquement de voir ce que je peux apporter à la vie publique. C’est tout là l’engagement de ma candidature.
Comment jugez-vous le travail de Catherine Péricard ?
P.P : Je ne vais pas critiquer Catherine Péricard. Elle a fait son temps. Maintenant les choses changent et les idées évoluent.
Vous savez la politique pour moi n’est pas un métier contrairement à ce que l’on peut entendre. Les hommes et les femmes qui font de la politique ont une mission dans l’instant de leur mandat. Après ils s’en vont et les autres suivent. C’est ma philosophie.
Ma candidature ne s’inscrit ni contre la conseillère générale sortante ni contre un parti. Je viens d’écrire d’ailleurs un courrier à Valérie Pécresse afin de prendre mes distances avec l’UMP durant la campagne.
Que vous a dit Emmanuel Lamy, Maire de Saint-Germain-en-Laye ?
P.P : Il ne m’a ni encouragé ni découragé. Il a sa politique, c’est un maire UMP. On verra ce qu’il fera mais je ne lui demande pas de me soutenir. Je crois dans l’action que je vais mener. Et puis vous savez, il n’y a que la victoire qui accorde tout le monde. Nous verrons bien...
Philippe Pivert, cette candidature laisse-t-elle présager des candidatures à d’autres élections ?
P.P : Même si tel était le cas, je ne saurai le dire ! J’ai tout de même 62 ans et personne n’est éternel. Il est donc encore trop tôt pour deviner de quoi l’avenir sera fait. Je vais donc d’abord tâcher de remporter cette cantonale. Ce à quoi, je me prépare.
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