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Alors que Papandréou a formellement démissionné, le nom de son successeur est encore gardé secret. Il pourrait s'agir du Président du Parlement, réputé proche du Premier Ministre démissionnaire.
Au vu du déroulement de l'affaire, je pense qu'il faut changer le nom du sujet en Élections législatives grecques 2012

Ces élections législatives anticipées sont annoncées pour le 19 février 2012.

Je propose plutôt de créer un autre sujet. S'y colle qui veut pour le créer.

ploumploum a écrit:Plus qu'un référendum, ce sont des élections législatives anticipées qui auront lieu le 19 février 2012. En attendant, selon le parti d'extrême droite présent à l'Assemblée, c'est Lucas Papadémos, économiste grec (et ancien vice-gouverneur de la BCE), qui devrait prendre la tête du gouvernement de coalition.

Information qui semble se confirmer : Lucas Papademos, 64 ans, ex-gouverneur de la Banque centrale grecque et ex-vice-président de la Banque Centrale Européenne est le nouveau premier ministre grec. Il a fait ses études aux Etats Unis (au prestigieux MIT de Cambridge près de Boston), a enseigné à Columbia et a travaillé pour la Federal Reseve Bank. Autant dire un profil qui devrait plaire aux marchés. Quant aux électeurs... :roll:

Papademos, si je suis bien ce que veulent dire les noms en demotiki, cela veut dire le Prêtre du peuple...
Mais je crains juste que le berger ainsi choisi soit forcément du goût de ses ouailles et ne soit là que pour expédier les affaires courantes ( en l'espèce, le xième plan européen de présumé sauvetage, les précédents ayant conduit le pays à la récession ) en l'attente du rendez vous électoral de février prochain.

Le Figaro, sur son site, souligne que l'intéressé ne vit plus vraiment en Grèce depuis 2002 (!), ce qui montre d'entrée les limites d'un gouvernement dirigé par un technocrate...

J'ai procédé à la création d'un nouveau sujet à partir d'éléments issus de celui consacré au Référendum en Grèce.

ploumploum a écrit:Au vu du déroulement de l'affaire, je pense qu'il faut changer le nom du sujet en Élections législatives grecques 2012

Je l'ai déjà dit, je suis peu favorable au changement de nom d'un sujet en cours de route. Il est préférable d'en ouvrir un nouveau si la situation l'impose. Compte tenu de la visibilité limitée qu'offre actuellement la Grèce, il est à parier que d'autres sujets verront le jour.

Cela nous a peut-être échappé, mais pour la première fois depuis 1974 que l'extrême-droite grecque fait son entrée au Gouvernement, depuis la chute de la dictature des Colonels.

Makis Voridis (LAOS) a été désigné Ministre des Infrastructures, des Transports et des Réseaux.

http://www.bfmtv.com/video-infos-actual ... t-1891058/

polnico62240 a écrit:Cela nous a peut-être échappé, mais pour la première fois depuis 1974 que l'extrême-droite grecque fait son entrée au Gouvernement, depuis la chute de la dictature des Colonels.

Makis Voridis (LAOS) a été désigné Ministre des Infrastructures, des Transports et des Réseaux.

http://www.bfmtv.com/video-infos-actual ... t-1891058/

Précision : il ne faut non plus oublier Adonis Georgiadis, qui devient Ministre adjoint du Développement, de la Compétivité et des Affaires maritimes.

polnico62240 a écrit:Cela nous a peut-être échappé, mais pour la première fois depuis 1974 que l'extrême-droite grecque fait son entrée au Gouvernement, depuis la chute de la dictature des Colonels.

Makis Voridis (LAOS) a été désigné Ministre des Infrastructures, des Transports et des Réseaux.

http://www.bfmtv.com/video-infos-actual ... t-1891058/

Un Ministère qui pourrait avoir du travail, vu que la privatisation de la compagnie grecque de téléphone comme celle d'électricité sont à l'ordre du jour depuis environ ... dix huit mois et le premier plan concernant la Grèce !
Ceci dit, j'ai bien l'impression que la survie de ce gouvernement est extrêmement limitée.

Pour les problématiques de privatisation, le choix d'un ministre du LAOS n'est peut être pas innocent.
Alors que ce parti, comme d'autre partis d'extrême-droite européens, a tenu pendant des années un discours populiste avec certains penchants sociaux, il est maintenant sur des positions économiques très libérales. A titre d’exemple son programme prévoit une baisse importante des impôts sur les sociétés et les ménages.
Au parlement européen, ses 2 députés siègent au sein du groupe Europe Libertés Démocratie, avec entre autres, l'UKIP, la Ligue du Nord et Philippe de Villiers. Pas vraiment des défenseurs acharnés du service public.