Re: Vie interne de l'UMP/Les Républicains
Posté: Mer 5 Juin 2019 09:02
Je n'ai acheté Charlie Hebdo qu'une seule fois, à titre de solidarité suite à l'évènement que l'on sait.
Donc je n'aurai pas à revoir mon cardiologue, consulté par nécessité il y a 3 semaines.
Il y a des sujets sur lesquels je ne plaisante pas : je sais qu'aujourd'hui, on peut rire de tout...ou presque : en effet, caricaturer une certaine gauche, ou sa pousse macronienne, est insupporté et vaut, à son auteur, une avalanche de réponses outrées qui en rajoutent les unes sur les autres.
Pour te préciser, cher PhB, j'ai toujours combattu ces disciples des jésuites, qui, par syllogisme(s), retombent sur leurs pieds en nous gavant de justifications a posteriori, en déformant le contenu des propos de celui ou celle qu'il convient de clouer au pilori.
Une centrale syndicale, comme le macronisme, parviennent ainsi à leurs fins en brouillant les cartes.
il y a un homme respectable, mais le sujet initial, c'est le fond d'une loi sur l'éthique dont il a été le concepteur…..
Faire avancer la question sur la fin de vie, permettre à celui qui a pu en exprimer le désir de ne plus souffrir sans espoir de rémission et aux familles la possibilité de refuser l'acharnement quand le corps médical est formel sur l'état d'avancement et l'irréversibilité du mal qui ronge le malade, c'est une loi d'émancipation et de libération des consciences qui sont bousculées et se sentent isolées dans ces moments-là.
Blaguer ou donner dans l'humour...c'est faire preuve de beaucoup de légèreté.
Par contre, le respect s'impose sur le sujet et sur la concepteur de cette loi.
Se couvrir au prétexte que d'autres se sont répandus sur les réseaux sociaux et rigoler avec eux, en les reprenant, est consternant et n'excuse rien : les turpitudes des autres n'excusent ni ne justifient ses propres turpitudes.
Il est vrai que ces quelques mots sont un peu plus secs ! J'assume.
Bertrand SALVAT
Donc je n'aurai pas à revoir mon cardiologue, consulté par nécessité il y a 3 semaines.
Il y a des sujets sur lesquels je ne plaisante pas : je sais qu'aujourd'hui, on peut rire de tout...ou presque : en effet, caricaturer une certaine gauche, ou sa pousse macronienne, est insupporté et vaut, à son auteur, une avalanche de réponses outrées qui en rajoutent les unes sur les autres.
Pour te préciser, cher PhB, j'ai toujours combattu ces disciples des jésuites, qui, par syllogisme(s), retombent sur leurs pieds en nous gavant de justifications a posteriori, en déformant le contenu des propos de celui ou celle qu'il convient de clouer au pilori.
Une centrale syndicale, comme le macronisme, parviennent ainsi à leurs fins en brouillant les cartes.
il y a un homme respectable, mais le sujet initial, c'est le fond d'une loi sur l'éthique dont il a été le concepteur…..
Faire avancer la question sur la fin de vie, permettre à celui qui a pu en exprimer le désir de ne plus souffrir sans espoir de rémission et aux familles la possibilité de refuser l'acharnement quand le corps médical est formel sur l'état d'avancement et l'irréversibilité du mal qui ronge le malade, c'est une loi d'émancipation et de libération des consciences qui sont bousculées et se sentent isolées dans ces moments-là.
Blaguer ou donner dans l'humour...c'est faire preuve de beaucoup de légèreté.
Par contre, le respect s'impose sur le sujet et sur la concepteur de cette loi.
Se couvrir au prétexte que d'autres se sont répandus sur les réseaux sociaux et rigoler avec eux, en les reprenant, est consternant et n'excuse rien : les turpitudes des autres n'excusent ni ne justifient ses propres turpitudes.
Il est vrai que ces quelques mots sont un peu plus secs ! J'assume.
Bertrand SALVAT