Page 9 sur 9

Re: Popularité des hommes politiques

MessagePosté: Mar 11 Sep 2012 23:13
de Jean-Philippe
Voici un lien vers un récapitulatif du dernier sondage Ifop de popularité.

Hollande perd 9 pts à 60%, Ayrault 3 à 67%, Sarkozy en gagne 4 à 52% (il est 16e et Hollande 11e).
73% des sympathisants UMP contre 25% préfèrent François Fillon à Copé.

Re: Popularité des hommes politiques

MessagePosté: Jeu 7 Fév 2013 20:39
de Jean-Philippe
L'observatoire politique CSA-Les Echos-Institut Montaigne du mois indique ses dernières observations (source).

Manuel Valls reste la personnalité politique préférée des Français (55% ont de lui "une image positive", -1), devant Alain Juppé (52%, -3) et François Fillon (51%, +2).

Les plus silencieux sont ceux qui progressent le plus: Martine Aubry gagne cinq points (+9 auprès des sympathisants de gauche, qui la placent en tête avec 74% d'opinions positives, devant Valls à 66%), François Bayrou en gagne six. Aubry et M. Bayrou sont 4es du classement (46% de bonnes opinions, 48% de mauvaises).


Notons que Taubira progresse à gauche mais recule à droite à cause de son implication dans le débat sur le mariage pour tous.

Re: Popularité des hommes politiques

MessagePosté: Mar 10 Sep 2013 19:00
de Jean-Philippe
Dans le gouvernement, d'après le tableau de bord Ifop-Paris Match, Valls reste celui qui recueille le plus d'opinions positives (73%, +4 en 2 mois, 71% chez les sympathisants de droite), devant Montebourg (55%, +1) et Ayrault (52%, +7), ce qui est la grande surprise de cette enquête (comme quoi, en fonction de la question, les résultats varient). Hollande, lui, stagne à 40%.
Laurent Fabius grimpe à 50% (+3) alors que Taubira recule de 4 à 45%.
A droite, Alain Juppé est le plus apprécié et progresse sensiblement (65%, +3), moins toutefois que François Fillon (+ 6, à 62%). Nicolas Sarkozy obtient 50% de bonnes opinions (+1), tandis que, relève le dirigeant de l'Ifop Frédéric Dabi, «Jean-François Copé ne compense toujours pas le discrédit subi après sa victoire controversée lors de l'élection interne à la présidence de l'UMP (37%, +1)» (source).

Re: Popularité des hommes politiques

MessagePosté: Mer 11 Sep 2013 06:48
de Draume
Il faut prendre garde aux types de questions posés, et aux champs du sondage.
En agglomérant électeurs socialistes et UMP, le score de Taubira et de Copé ne peut être qu'ambigu.
Popularité, avenir et satisfaction ne veulent pas dire la même chose

Re: Popularité des hommes politiques

MessagePosté: Mar 13 Déc 2016 22:02
de ploumploum
Je fais remonter un sujet non alimenté depuis plus de 3 ans :

A 5 mois de la présidentielle, les données du dernier baromètre Ifop-Fidicial pour Paris-Match/Sud Radio
Hausses du duo exécutif (nouveauté et renoncement/ voir le sujet spécifique), de Macron, Montebourg et Mélenchon.
Reculs nets pour Juppé, Fillon et Valls

% de bonnes opinions.

Cazeneuve : 56 % / + 8 pts par rapport au mois dernier
Juppé : 54 % / - 7 pts
Montebourg : 51 % / +5 pts
Macron : 51 % / + 2 pts
Mélenchon : 49 % / + 2 pts
Fillon : 48 % / - 6 pts
Valls : 45 % / -5 pts
...
Hollande : 35 % / + 14 pts
Sarkozy : 32 %/ - 3 pts

http://www.parismatch.com/Actu/Politiqu ... te-1142396

Re: Popularité des hommes politiques

MessagePosté: Mer 14 Déc 2016 22:48
de cevenol30
Rudement bonne idée d'avoir remonté ce fil, bravo!
Dans l'intervalle, les popularités de personnalités hors tête de l'exécutif (y compris les ministres) ont été évoquées en hors-sujet dans le fil sur la popularité de l'exécutif Hollande-Ayrault puis Hollande-Valls (même fil, il me semble).

Ici, on entrevoit des montées en première ligne des candidats alternatifs à Valls, en vue de la primaire ou du premier tour. Le croisement entre Montebourg montant et Valls descendant n'est pas innocent et doit plaire au premier, qui semble avoir trouvé moyen de ratisser plus large.

A droite, il y a comme un fléchissement post-primaire: pour les grands perdants, c'est normal, leur avenir est entaché: probablement pas Président ni l'un ni l'autre en 2022 ou 2027, ministres de Fillon peut-être mais c'est moins bien.
Quant à Fillon, le fait d'être candidat à coup sûr voire vu comme le futur président rend plus exigeant à son égard et à celui de son programme, c'est l'effet inverse de Hollande.
Effet qui est inquiétant globalement: quel que soit le futur président, on commence à ne pas l'aimer (ou à ne pas trop aimer l'effet anticipé de son action) avant même son élection...