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Outre la présidence de la commission européenne, qui ira officiellement à Junker, celle des groupes au Parlement (et les postes de vice-présidences), on peut développer ici les informations (et rumeurs) qui circulent sur les noms des futurs membres de la commission européenne et les autres postes clés, comme le chef de la diplomatie.

On parle déjà de Moscovici.
Reste à voir un poids lourd pour l'Allemagne (un/e CDU),
Et la G-B. Cameron aurait accepté de se "calmer" un peu ,en échange d'un "gros" portefeuille économique
Et aussi qui remplacera Van Rompoy

Jean-Philippe a écrit:Outre la présidence de la commission européenne, qui ira officiellement à Junker, celle des groupes au Parlement (et les postes de vice-présidences), on peut développer ici les informations (et rumeurs) qui circulent sur les noms des futurs membres de la commission européenne et les autres postes clés, comme le chef de la diplomatie.

La présidence de l'Eurogroupe serait aussi concernée bien que le néerlandais Jeroen Dijsselbloem ait été nommé pour un mandat de 2 an s et demi en janvier 2013.

Moscovici réfute une nouvelle fois les rumeurs le donnant candidat à la présidence de cette institution.
Mais le poste intéresserait d'autres personnes : Mariano Rajoy, le président du Gvt espagnol, tenterait d'y placer Luis de Guindos, son ministre de l'Economie.

http://www.euractiv.fr/sections/electio ... commission

La future Commission Juncker pourrait compter parmi ses membres au moins 4 anciens chefs de Gouvernement :

- Jean-Claude Juncker, Premier Ministre luxembourgeois durant près de 19 années (janvier 1995-décembre 2013)


- Jyrki Katainen, Premier Ministre finlandais durant 3 ans (juin 2011-juin 2014). Il a remplacé son compatriote Olli Rehn (commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires) le 1er juillet.
- Valdis Dombrovskis, Premier Ministre letton durant près de 5 ans (mars 2009-janvier 2014)
- Andrus Ansip, Premier Ministre estonien durant 9 ans (avril 2005-mars 2014)

Les 3 personnes citées ci-dessus ont démissionné pour briguer un poste de commissaire européen.


Une illustration de plus que le véritable pouvoir est à Bruxelles...

Juncker annonce que le prochain commissaire européen chargé de l’économie sera "probablement" un social-démocrate.

Les deux principaux prétendants à ce poste sont Moscovivi et Jeroen Dijsselbloem, le président de l'Eurogroupe.


Matteo Renzi tente de placer Federica Mogherini, sa ministre des Affaires Étrangères, au poste de Haut Représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, ce qui n'est pas étonnant quand on sait que le président du conseil italien a critiqué l'inaction de l'UE dans le dossier des migrants africains.

http://www.lepoint.fr/politique/moscovi ... 396_20.php

Nouveau point du Monde sur l'état actuel des choses. Bilan : rien n'est arrêté.

Jean GABIN à la fin de sa belle vie : Tout ce que je sais, c'est que ... je ne sais rien

2 postes attribués :

- Federica Mogherini, ministre italienne (PD) des Affaires Étrangères devient Haut représentant pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité. Elle succède à Catherine Ashton.
Sa nomination n'a pas été évidente car ses déclarations sur la crise ukrainienne ont parfois été contraires à celles des autres dirigeants européens. Mais [url]comme l'indique Le Monde[/url], Matteo Renzi l'a imposé, estimant que son large succès aux européennes légitime l'obtention d'un poste important.

- Donald Tusk, chef du gouvernement polonais, (PO-Plateforme Civique- PPE), devient Président du Conseil Européen.
Son portrait par Le Monde.

Il ne parle pas français, très mal anglais, parfaitement allemand.
Ils auraient nommés Merkel ou son clone, cela aurait été plus facile.
Les sociaux démocrates et les partisans de la féminisation n'ont pas fait le poids, ou pas voulus, une fois de plus depuis quatre mois

Draume a écrit:Il ne parle pas français, très mal anglais, parfaitement allemand.
Ils auraient nommés Merkel ou son clone, cela aurait été plus facile.
Les sociaux démocrates et les partisans de la féminisation n'ont pas fait le poids, ou pas voulus, une fois de plus depuis quatre mois

La position vis-à-vis de la Russie de Tusk est assez différente de celle de Merkel, cependant.

Les sociaux démocrates (et le Royaume-Uni, car son conjoint est un ancien homme politique anglais) avaient leur candidate, Helle Thorning-Schmidt, première ministre du Danemark.