Eco92 a écrit:Le Labour risque par ailleurs une sévère chute, qui pourra bénéficier aux conservateurs (le premier sondage donne 46% aux Conservateurs contre 25% au Labour).
Les écarts abyssaux ont tendance à se réduire fortement en campagne Au final, le résultat ne devrait pas être très différent de celui de 2015. Peut-être un peu plus large et cela suffirait peut-être pour infliger au Labour une défaite historique, peut-être un peu plus serré et le résultat en nombre de sièges pourrait l'être tout autant.
ligerien a écrit:Surtout, même si ça se passe bien en Angleterre, ça va être chaud pour les tories en Ecosse et en Irlande du Nord. May y prend en risque.
Chaud pour les Tories en Ecoose, pas vraiment. Ils n'ont pas grand-chose à y perdre : un seul siège sortant, tout comme le Labour il me semble. Ce dernier peut espérer réarracher des sièges au SNP en particulier grâce au retour d'électeurs de gauche farouchement opposés à l'indépendance de l'Ecosse mais qui s'étaient permis de voter SNP en 2015 quand la menace d'une sécession semblait écarter et qui reviendraient au bercail travailliste maintenant que cette éventualité resurgit.
En cas de défaite des Tories et de retour au pouvoir des Travaillistes (ce n'est pas le plus probable mais ce n'est pas à exclure), le Brexit pourrait-il être annulé ? A priori non, vu le nombre de MP travaillistes ayant voté en sa faveur, mais sait-on jamais.