Francis Deswarte, gendarme à la retraite, qui a découvert le corps du ministre a accordé une interview à 20 minutes.
Pas de révélations vraiment nouvelles, mais un énième renforcement en direction de l'idée d'un crime politique.
Le gendarme insiste sur le fait que Robert Boulin avait la "tête hors de l'eau" lors de la découverte du corps et que son visage laissait apparaître des "griffures rouges".
Il n'aura fallu ensuite que 30 minutes pour que la brigade de Francis Deswarte soit dessaisie de l'affaire.
La totalité de l'interview est disponible en ligne sur le
site du quotidien.
Ce nouveau témoignage permettra-t-il de réouvrir l'enquête ? Une requête en ce sens sera sans nul doute déposée par les avocats de la famille.