Municipales 2014 - annonces et rumeurs de candidatures

[Robespierre]

Municipales d'Arras pour 2014.

Cette ville, détenue par la gauche depuis la libération via Guy Mollet et son successeur Léon Fatous, fut conquise par l'UDF à 37 voix près en juin 1995. Son maire actuel, Jean-Marie Vanlerenberghe (Sénateur Modem depuis 2001 et Shadow ministre de Bayrou) fait courrir le bruit qu'il ne briguera pas de mandat supplémentaire.

Les éventuels candidats seront alors nombreux :

1) Frédéric Leturque : ex dircab de 95 à 2001. Adjoint au maire depuis 2001. Responsable départemental du Modem 62. Conseiller régional de 2004 à 2010. D'aucun le considère comme le dauphin du maire sortant.

2) Seulement, la majorité municipale regroupe des DVD, du MPF, des transfuges de l'ex RPF et des UMP... dont Philippe Rapeneau (adjoint depuis 95, candidat malheureux aux législatives de 2002 et de 2007 dans la 1ère du Pas-de-Calais et secrétaire adjoint de l'UMP 62) qui se verrait bien lui aussi successeur du maire sortant.

3) à gauche, Catherine Génisson, Députée locale (depuis 97) s'était désistée en 2008 en faveur d'Alain Fauquet (CG du Canton d'Arras-Ouest) ... et voilà qu'un article de la VDN en date du 29/09/10 évoque son positionnement : "Le mandat de maire d'Arras [...] oui, peut-être je me laisserai convaincre"

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Arra ... peux.shtml

[Robespierre]

Mairie de Strasbourg : Roland Ries pense être candidat à sa succession
Roland Ries envisage de se représenter à la mairie de Strasbourg.

Le maire de Strasbourg Roland Ries a enregistré hier soir une émission pour Radio Judaïca, qui sera diffusée la semaine prochaine, durant laquelle il a affirmé qu'il pensait se représenter aux élections municipales de 2014.

À la question posée sur son éventuelle candidature, il a répondu en ces termes : « Je pense que oui ».

Fin août, Roland Ries avait indiqué qu'il prendrait sa décision définitive dans le courant du second semestre de l'année 2013. Il lui reste donc encore deux ans pour confirmer qu'il brigue sa propre succession - ou bien y renoncer.

http://www.lalsace.fr/fr/article/393425 ... ssion.html

[Jean-Philippe]

A Reims, Catherine Vautrin, députée et ancienne ministre, leader de l'opposition à Reims, est déjà candidate aux municipales comme aux législatives.

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/municipales-2014-catherine-vautrin-avocate-et-candidate

[Zimmer]

A Paris, Bertrand Delanoë a déjà fait part de son souhait de ne pas solliciter un troisième mandat, ce qui n'empêche pas un certain nombre de ténors du PS parisien de penser qu'il pourrait revenir sur sa décision s'il apparaissait comme étant le meilleur candidat possible pour permettre au parti de la rue de Solférino de conserver la capitale, assurant qu'il est un "homme de devoir".

Si sa non candidature était toutefois confirmée, on sait déjà que sa première adjointe, Anne Hidalgo, par ailleurs conseillère régionale d'Ile-de-France, est candidate à sa succession. Le député du 13ème arrondissement et adjoint au maire chargé de la santé publique et des relations avec l’Assistance publique–Hôpitaux de Paris, Jean-Marie Le Guen, vise, lui aussi, l'investiture du PS pour ce scrutin.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iXWo3YHwr0JpjaA0B8UbSiF_qwLw?docId=CNG.280f510f07b4a5776462f9d30cd25420.171

[Zimmer]

A propos des prochaines élections municipales à Cannes :

Philippe Tabarot, objectif 2014
vendredi 29 octobre 2010

Rencontre avec le leader de l’opposition municipale de droite et conseiller général de Cannes Centre.

Philippe Tabarot ne tourne pas autour du pot, ce matin-là dans les salons d’un grand hôtel de la Croisette, lorsqu’on l’interroge sur ses projets politiques : « être élu maire de Cannes ». Une franchise qu’il partage avec son principal challenger, David Lisnard, le premier adjoint de Bernard Brochand, qui, lui aussi, assume au grand jour ses ambitions municipales.

Le vice-président du Conseil général a raté de peu la marche en mars 2008 face au tandem Brochand-Lisnard, au terme d’une campagne pleine de rebondissements. Du coup, il s’est retrouvé sur les bancs de l’opposition avec neuf de ses colistiers. Des colistiers issus des équipes municipales successives, de Bernard Cornut-Gentille à Michel Mouillot en passant par Anne-Marie Dupuy et… Bernard Brochand. Un œcuménisme qui répond à la volonté de Philippe Tabarot de « rassembler les Cannois ». Le leader de l’opposition assume l’héritage et ses complexités là où Bernard Brochand ne cesse de vouloir rompre avec « le système Mouillot », même quatorze ans après le début des ennuis judiciaires de ce dernier. Le député-maire ne manque d’ailleurs jamais d’associer ses concurrents de droite aux pages qu’il estime les plus sombres de la ville : Henri Leroy, maire de Mandelieu et ancien chef de cabinet de Michel Mouillot, et… Philippe Tabarot qui a décroché son premier mandat de conseiller municipal, à 18 ans, en 1989 mais cette fois-ci dans la majorité.

Les finances en ligne de mire

Il ne rougit pas d’avoir été «  associé à de belles réalisations » (notamment la politique touristique) sous le règne Mouillot. Mais il sait aussi que sa ville a pu être traumatisée par les dérives que la justice s’est chargée de mettre au jour. Plutôt que de parler du passé, Philippe Tabarot préfère évoquer le présent. Faire son boulot d’opposant « responsable et crédible », comme il se définit lui-même.

Les sujets ne manquent pas. Philippe Tabarot tire à vue sur les finances de la ville. Il dénonce « le gaspillage de l’argent public » en com’ et en frais d’études : « Voyez le centre aquatique dont la première pierre a été opportunément posée pendant la campagne électorale : 40 millions d’euros de budget, dont 5,5 pour les études. Depuis, on attend encore la deuxième pierre ».

Quant à l’endettement, il est passé, selon lui, de 147 millions en 2001 à 311 millions d’euros en 2010. « En un mandat, Bernard Brochand a endetté la ville autant que ses quatre prédécesseurs réunis » (NDLR : Bernard Cornut-Gentille, Georges-Charles Ladeveze, Anne-Marie Dupuy et Michel Mouillot), accuse-t-il suggérant que la municipalité est contrainte de vendre du foncier afin de remplir les caisses.

Le Palais refermé sur lui-même

La densification, voici l’autre cheval de bataille de Philippe Tabarot : « Il n’y a qu’à ouvrir les yeux ». Il dénonce les «  faux-semblants de l’Agenda 21 ». Regrette l’urbanisation de la Croix des Gardes, de la Pointe Croisette et de la Bocca. Il déplore la disparition de la villa de Maurice Chevalier au profit d’un programme immobilier, vitupère contre la vente « en rafale » des terrains municipaux parmi lesquels les cours de tennis du Galia, « les plus vieux cours de terre battue du monde ».

Il cible également la gestion du Palais des Festivals. Un Palais qui ne « doit pas être une entreprise 100% privée recherchant la rentabilité à tout crin » mais bien « un outil économique au service de la ville ». Le chef de l’opposition se félicite « d’avoir mis le feu » avec une pétition réclamant l’abandon du projet de la mairie consistant à faire passer la délégation de service public du Palais de 10 à 40 ans. Il est satisfait d’avoir obtenu gain de cause concernant l’extension, « heureusement abandonnée », du Palais.

La charge de Philippe Tabarot va plus loin : le Palais vit « en vase clos, comme refermé sur lui-même ». D’où la nécessité de « rouvrir ses portes aux Cannois ».

Une candidature aux législatives ?

Hasard ou coïncidence ? Le Palais est présidé par celui qu’il affrontera vraisemblablement aux élections municipales de 2014, David Lisnard. 2014 : voilà le seul et véritable objectif de Philippe Tabarot. Il s’interroge sur l’opportunité d’une candidature aux élections législatives de 2012. « La question se posera », dit-il simplement.

Il ne lui a pas échappé que Bernard Brochand s’est d’ores et déjà manifesté pour rempiler. Aura-t-il intérêt à affronter le député sortant moins de deux ans avant l’échéance décisive ? Laissera-t-il Henri Leroy aller à la bataille, comme en 2007 ? Quoi qu’il en soit, il n’épargne pas non plus le député Bernard Brochand : « Lutter contre la contrefaçon et s’occuper de France 24, c’est un peu loin des préoccupations des habitants de la 8ème circonscription ». En attendant, il ne semble pas particulièrement préoccupé de savoir s’il fait toujours partie de l’UMP. Le parti présidentiel avait investi Bernard Brochand aux municipales de 2008 mais n’avait pas officiellement exclu le « dissident  » Philippe Tabarot. Dans le même temps, l’UMP de la 8ème circonscription est tenue par les amis d’Henri Leroy et de Philippe Tabarot. A Cannes, l’UMP ne sait plus sur quel pied danser…

La campagne permanente

Tout cela n’inquiète pas outre mesure Philippe Tabarot, convaincu que beaucoup d’eau coulera en baie de Cannes d’ici 2014. En attendant, il fait campagne sans attendre les élections. Le conseiller général de Cannes Centre qu’il est depuis 2001 ne se contente pas d’écumer la rue d’Antibes ou la Croisette. Sa permanence installée au cœur de la Bocca témoigne de son désir d’être au milieu des Boccassiens dans ce quartier populaire dont Michel Mouillot se plaisait à dire qu’il faisait basculer le scrutin municipal. De la même façon, il multiplie les réunions « tupperware » au cours desquelles il discute à bâtons rompus avec les Cannois. Une stratégie de proximité pour être prêt le moment venu, en 2014.

Romain Thomas

http://www.lepetitnicois.fr/actualites-et-politique/villes-a-la-une/philippe-tabarot-objectif-2014,2971.html

[Robespierre]

Lyon

Municipales 2014 : Hamelin, candidat d’opposition préféré des Lyonnais
Beaucoup lui ont fait le reproche de la jouer perso. Pourtant, la réceptivité des Lyonnais à la candidature d’Emmanuel Hamelin aux Municipales de 2014 est un fait. Selon le sondage OpinionWay paru dans l’édition de novembre du mensuel Lyon Capitale, l’ex-député du Rhône, actuel conseiller municipal, devance les principaux opposants de sa famille politique.

Avec 15% de votants parmi les Lyonnais interrogés, Emmanuel Hamelin s’impose comme le meilleur opposant à Gérard Collomb pour les Municipales de 2014. Il devance Nora Berra (13%), Michel Havard (10%) et Denis Broliquier (8%). L’instantané, à plus de trois ans de l’échéance, confirme « le manque de notoriété » que reconnaissait Michel Havard en conférence de presse d’avant conseil municipal début septembre. Il reste encore du temps au député du Rhône pour remédier à cet état de fait. Nora Berra, qui n’a, pour l’instant, avoué aucun objectif municipal, arrive en seconde position, récoltant sans doute les fruits mûris au soleil de son exposition nationale de secrétaire d’Etat aux Aînés. Denis Broliquier talonne ce trio de l’UMP. Pour le maire du 2ème arrondissement, qui développe méthodiquement sa structure « Lyon Divers Droite », c’est un score qui ouvre des perspectives. Nul doute que le galop d’essai des Cantonales fen 2011 donnera une idée plus précise du poids de Denis Broliquier face à la majorité municipale, mais aussi face à la droite traditionnelle.

Hamelin évoque sa « satisfaction au regard du travail d'opposition ferme et constructive réalisé. » Notamment sur le projet du Grand stade de Décines et sur le dossier de l’Hôtel-Dieu. Le président d’ELAN affiche certes sa satisfaction, mais prend également acte de sa « responsabilité pour les mois à venir, vis à vis des lyonnais qui ne partagent pas toutes les options de Gérard Collomb, et qui souhaitent une alternative crédible en 2014. » Ce premier marqueur positif pour la candidature du Croix-Roussien rappele une autre réalité, tout aussi arithmétique : il reste 1159 jours, à compter d’aujourd’hui, avant d’atteindre 2014, année des prochaines échéances municipales.

http://www.lyonmag.com/article/19632/mu ... s-lyonnais

[pierrot]

Mairie de Paris: Jouanno propose un ticket à Fillon pour 2014
Source Libé
La ministres des Sports souhaite aussi se présenter aux sénatoriales pour s'implanter dans la capitale, alors que plusieurs élus UMP tablent sur une candidature du Premier ministre aux législatives de 2012.

La ministres des Sports, Chantal Jouanno, se dit «prête à faire un ticket» avec François Fillon pour la reconquête de la mairie de Paris en 2014, alors que plusieurs élus UMP tablent sur une candidature du Premier ministre aux législatives de 2012 à Paris.

«Tous cela n’est absolument pas d’actualité pour le Premier ministre», freine-t-on à Matignon. Mais Jouanno, elle, ne cache pas ses ambitions, qui vise déjà une candidature aux sénatoriales de 2011 à Paris, avec l’objectif de s’implanter dans la capitale et de travailler à un «projet», en vue des prochaines municipales.

Quant à celui qui portera le projet, plusieurs parlementaires UMP n’excluent pas une candidature de Fillon, actuellement élu de la Sarthe, aux prochaines législatives dans la 2e circonscription de Paris (redécoupée pour couvrir trois arrondissements acquis à la droite, Ve VIe et VIIe). Ce qui serait un bon tremplin pour viser ensuite les municipales de 2014.

«François parle peu mais ne se ferme aucune porte, y compris Paris en 2012 et en 2014», a confié à l’AFP un parlementaire proche du Premier ministre.
«J’ai un côté plus à gauche, plus bobo»

Mais pour les législatives de 2012, l’eurodéputée et maire du VIIe arrondissement, Rachida Dati, exilée depuis 2009 au Parlement de Strasbourg, convoite aussi la 2e circonscription de Paris, espérant également briguer la mairie de Paris en 2014. «Rachida est maire du VIIe arrondissement et députée européenne. C’est déjà très bien», ferme Jouanno, interrogée sur ce point. Avant de balancer: «Une élection à Paris, ce n’est pas du casting et il ne faut pas considérer qu’on est là pour faire des coups.»

Pour reprendre Paris à la gauche, aux manettes depuis 2001, Jouanno verrait «quelqu’un avec une stature d’homme d’Etat comme François» Fillon. Interrogée sur ses propres visées en 2014, la conseillère régionale d’Ile-de-France répond: «pourquoi pas un ticket Fillon-Jouanno?» pour la mairie de Paris. «J’ai un côté plus à gauche, plus bobo que François, argue-t-elle. Or, l’un des enjeux de 2014, c’est la reconquête des quartiers de l’Est parisien» qui sont solidement ancrés à gauche.

Selon un élu parisien, Jouanno devrait figurer «en suffisamment bonne place sur la liste sénatoriale» pour être élue au Palais du Luxembourg en septembre 2011. La ministre souhaite également briguer, trois ans plus tard, une mairie «difficile pour la droite» dans le XIVe ou le XIIe arrondissement où sa collègue Christine Largarde avait trébuché aux municipales de 2008.

(Source AFP)

[maxxx]

Municipales 2014 : Michel Havard lance son association de campagne en février

Michel Havard a tenu vendredi sa traditionnelle conférence de presse d’avant Conseil municipal. Pas de gros dossiers à l’ordre du jour lundi, mais une vigilance sur les cantines et sur l’internat Favre pour l’opposition municipale. La nouveauté pour 2011 tient plus à la trajectoire personnelle du député du Rhône, qui rendra public en février son association de campagne pour les Municipales, confirmant ainsi sa candidature face à Gérard Collomb en 2014.

Les griefs à l’encontre de l’équipe municipale emmenée par Collomb n’ont guère changé en 2011 du côté de l’opposition : gestion « calamiteuse » des agents municipaux, peu de place réservées à la petite enfance et aux personnes âgées, rabotage des budgets pour rattraper la « flambée » des dépenses de fonctionnement. Michel Havard s’autorise même un détour par l’Hôtel-Dieu, sujet que l’opposition a déjà usé jusqu’à la corde, pour réadmonester la gestion Collomb. Il instruit d’ailleurs son attaque à charge à la lumière d’un document spécifique, envoyé aux Lyonnais pour les convier à la réunion publique de présentation du projet, qui s’est tenue 5 janvier dans les salons de l’Hôtel de Ville. Un document dont un des choix à cocher s’articule autour de la mention « souhaite participer aux réunions de concertation qui seront organisées au cours de l’année 2011. » Un abus de langage sur l’utilisation du terme « concertation », que Michel Havard ne manque pas de relever. « La décision a été prise voilà trois mois et Gérard Collomb ose encore parler de concertation ! tempête le député du Rhône. C’est ridicule ! » Et Patrice Huguet d’embrayer sur les « manipulations » du maire de Lyon, légions depuis « le début du précédent mandat. » L’léu du 3e arrondissement assure « qu’il en a été ainsi avec les berges de Rhône » et qu’il « en sera ainsi avec le projet des rives de Saône. » Manque de concertation avec les Lyonnais, mais également écrémage du maintien d’un projet d’intérêt public sur l’Hôtel-Dieu, l’argumentaire est déjà connu, mais revient avec une chronicité certaine du côté de l’opposition municipale.

Havard prêt à travailler main dans la main avec la municipalité pour l’internat Favre

Il faudra pour l’opposition l’entendre, le projet de l’Hôtel-Dieu est gravé dans le marbre et ne bougera pas. Le groupe peut par contre encore avoir une emprise sur le sort réservé à l’internat Favre. Et très clairement, Havard milite pour une union sacré de l’ensemble des élus autour du sauvetage de l’établissement. « Yves Fournel - l’adjoint à la petite enfance et à l’éducation - assure dans un communiqué de presse que je ferai mieux d’utiliser ma position de député pour défendre la cause de l’internat en haut lieu. Je suis évidemment prêt à le faire. Mais sachez que Mr Fournel, s’il me brocarde, ne m’a jamais appelé pour que nous puissions unir nos efforts. Pourtant, je suis partant », recadre Havard. La dynamique d’union s’arrête là où commence la polémique. « Je suis intimement convaincu que la décision autour d’Adolphe Favre sera dictée par des prérogatives comptables, augure négativement Havard. Pourtant, la municipalité savait depuis 2008 que les subventions versées par l’Etat seraient dégressives. » Et du côté du 86 de la rue Chazière, site de l’établissement, qui reçoit quelques 70 pensionnaires scolarisés alentours dans les 1ers et 4èmes arrondissements, c’est toujours le statu-quo.

L’association de campagne du leader d’Ensemble pour Lyon s’appellera... Ensemble pour Lyon

L’information de la matinée du côté d’Havard réside dans l’officialisation de son outil de campagne pour les Municipales de 2014. Et pour faciliter son identification, elle prendra le titre donné au groupe d’opposition municipale : Ensemble pour Lyon ! Moins sur l’originalité que sur la continuité, le député du Rhône assure que « toutes les bonne volontés seront les bienvenues » pour venir gonfler les rangs du mouvement. Même celle d’Emmanuel Hamelin, soliste de la droite lyonnaise qui joue sa partition au travers de sa propre association de Campagne, Ensemble pour Lyon avec une Ambition Nouvelle (ELAN) ? « Emmanuel sera le bienvenu » assure Havard, dans un sourire. « On est dans le bon calendrier pour lancer la machine » continue-t-il, assurant que 2011 sera « une année importante. » Rendez-vous donc en février pour présenter le nouvel outil, qui sera le seul à porter la patente de l’UMP du Rhône. N’en déplaise aux voltigeurs de la droite lyonnaise.

http://www.lyonmag.com/article/21014/municipales-2014-michel-havard-lance-son-association-de-campagne-en-fA-vrier

Eh ben, il n'y a pas qu'à Paris que la droite est mal partie pour 2014...

[maxxx]

Gérard Collomb se voit bien ministre si cela lui permet toujours d’être maire de Lyon

Le sénateur-maire de Lyon s'est livré dans une interview publiée ce dimanche par Le Progrès.

Il a réaffirmé son soutien à une toujours hypothétique candidature de Dominique Strauss-Kahn pour le PS en vue de la présidentielle de 2012 et s’est redit prêt à se présenter si ce dernier ne le faisait pas. L'édile lyonnais affirme que "s’il fallait choisir entre les deux, même pour un très beau ministère, ma réponse serait Lyon. C’est là qu’est mon cœur." Gérard Collomb explique également les projets futurs pour la Part-Dieu, à savoir une possible destruction d'un immeuble en face de la gare qui coupe la perspective de la bibliothèque. Il estime que le retrait d'Areva de la Tour In City ne remet pas en cause la construction et la viabilité de l'édifice.
Selon lui, dans le dossier de l’internat Favre à la Croix-Rousse, seule une aide de l’Etat pourrait en empêcher la fermeture étant donné que "les demandes de co-financement faites au conseil Général se voient toujours refusées".
En ce qui concerne les élections cantonales de mars, Collomb pense que "le mode de scrutin est trop localisé pour être favorable à la gauche" alors que celle-ci n'est qu'à deux sièges de la majorité dans la seule institution dominée par la droite dans le département. Pour le maire de Lyon, le fait que Michel Mercier, président centriste du conseil Général, ait été nommé ministre de la Justice dans le gouvernement Fillon III pourrait amener "un vote sanction de la part des électeurs, des électeurs dont la désillusion est toujours grandissante dans la société."

http://www.mlyon.fr/49401-gerard-collomb-se-voit-bien-ministre-si-cela-lui-permet-toujours-d-etre-maire-de-lyon.html

Y en a pour qui le non cumul va avoir du mal à passer....

[Zimmer]

Norbert Métairie (PS), maire de Lorient depuis 1998, briguera un nouveau mandat en 2014. Il sera alors âgé de 67 ans. Norbert Métairie est également conseiller général du canton de Lorient-Centre depuis 2001 (réélu en 2008 pour six ans).

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Norbert-Metairie-maire-se-represente-en-2014-_-1673054------56121-aud_actu.Htm