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La Préfecture de Seine-Maritime a rendu public ce jour un arrêté de convocation des électeurs de Saint-Martin Osmonville (Seine-Martime), commune de 1 177 habitants, à une élection partielle municipale dont le premier tour interviendra le 2 octobre.
Ce scrutin à venir résulte de la démission de cinq élus municipaux, soit un tiers du conseil, avec une démission on octobre 2014, une le 17 avril 2016, deux le 30 juin 2016 et une le 7 juillet 2016.
Lors de l'élection générale de mars 2014, une seule liste de quinze candidats s'était présentée aux suffrages des electeurs osmanvillais et elleavait été élue en integralite. Des dissenssions entre des élus, notamment entre le maire et les démissionnaires de juin et juillet, ont entraîne l'élection partielle a venir pour constituer un nouveau conseil municipal dans son integralite.
Le maire actuel expédiera les affaires courantes avec ses neuf colistiers restants jusqu'à l'installation du nouveau conseil en octobre.
Saint-Martin Osmonville est une commune située au nord de l'agglomération rouennaise dans l'ex canton de Saint-Saens. Cette commune est devenue très rurbaine de par la construction de la section Rouen-Abbeville de l'autoroute A 28 et de la section de l'autoroute A 29 reliant l'A 13, Le Havre, Yvetot, Saint-Saens avec jonction avec l'A 28 au niveau de l'échangeur de Saint-Martin Osmonville, commune qui était traversée par la route nationale 28 Rouen-Abbeville laquelle est devenue la route départementale 928.
L'arrivee des autoroutes A 28 et A 29 a provoque un développement important de la commune qui a triple sa population en deux décennies passant du monde rural à celui rurbain de commune se trouvant à moins de trente minutes en voiture d'une Métropole.
Cette élection partielle illustre à nouveau la pertinence des reflexions de notre ami Bertrand Salvat et j'ajouterai au débat, sans que cela me soit confirme de source osmonvillaise, que de nombreuses listes aux élections municipales de 2014 ont été constituéees quelque peu à l'emporte pièce faute d'avoir anticipé le nouveau mode de scrutin applicable dans les communes de 1 000 à 3 500 habitants ce qui me fait dire que decider d'un scrutin proportionnel rationalise en dessous de 2 500 ou 2 000 habitants n'était peut être pas judicieux. Exercer un mandat municipal ne relève pas du paraître mais d'engagement civique et d'intérêt marque pour les affaires de la commune mais aussi nécessite une appétence ou une habitude de la gestion dans un groupe avec ses personnalités à concilier dans un ensemble au service de la commune et non d'intérêt ou d'humeurs sans vision à six ans.